Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel

Le Russe Gazprom fournit 75% de la consommation de gaz annuelle de la Grèce (DR)
La guerre du gaz prend une nouvelle tournure. Mardi matin, la Russie a pratiquement fermé les robinets vers l’ouest.
Conséquence : les livraisons vers la Croatie sont totalement interrompues, avec une vraie menace de pénurie (le pays importe 40% de son gaz de Russie). Habitants comme industriels sont appelés à limiter leur consommation.
Arrêt aussi des livraisons pour la Grèce et la Turquie, mais ces deux pays ont une solution alternative à travers le gazoduc BlueStream.
Cette nouvelle escalade dans le conflit russo-ukrainien impacte aussi la France. GDF Suez a annoncé que les livraisons en provenance de Russie avaient diminué de 70% (mais le gaz russe ne représente que 15% de l’approvisionnement français).
En Italie, le gouvernement se veut rassurant et met en avant les "très hauts niveaux de stockage". Il va toutefois faire en sorte d’intensifier les livraisons en provenance d’autres pays fournisseurs comme la Libye, l'Algérie, la Norvège, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas.
Lire aussi: Les pays du nord de la Méditerranée directement touchés par la crise du gaz russo-ukrainienne
Conséquence : les livraisons vers la Croatie sont totalement interrompues, avec une vraie menace de pénurie (le pays importe 40% de son gaz de Russie). Habitants comme industriels sont appelés à limiter leur consommation.
Arrêt aussi des livraisons pour la Grèce et la Turquie, mais ces deux pays ont une solution alternative à travers le gazoduc BlueStream.
Cette nouvelle escalade dans le conflit russo-ukrainien impacte aussi la France. GDF Suez a annoncé que les livraisons en provenance de Russie avaient diminué de 70% (mais le gaz russe ne représente que 15% de l’approvisionnement français).
En Italie, le gouvernement se veut rassurant et met en avant les "très hauts niveaux de stockage". Il va toutefois faire en sorte d’intensifier les livraisons en provenance d’autres pays fournisseurs comme la Libye, l'Algérie, la Norvège, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas.
Lire aussi: Les pays du nord de la Méditerranée directement touchés par la crise du gaz russo-ukrainienne