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TURQUIE / UNION EUROPÉENNE. Ceci commence à devenir une antienne... Recep Tayyip Erdogan a réitéré, samedi 25 mars 2017, son intention d'organiser un référendum sur la poursuite du processus d'adhésion à l'Union européenne (UE).
Sauf que, contrairement aux fois précédentes - et notamment en juin 2016 dans la foulée du Brexit - l'annonce effectuée lors d'un forum turco-britannique à Antalya, intervient alors qu'Ankara et Bruxelles se déchirent dans une escalade de mots et de menaces. Le parlement européen demande d'ailleurs depuis novembre 2016 le gel de la procédure d'adhésion.
"En ce qui concerne les négociations, nous pourrions prendre la voie d'un référendum et obéir à la décision que prendrait la nation", lance Recep Tayyip Erdogan. Le calendrier s'affine d'ailleurs puisque cette consultation pourrait se dérouler peu de temps après le référendum du 16 avril 2017 sur la nouvelle constitution donnant encore plus de pouvoir au président de la République turque.
Le président turc a même indiqué, quelques heures avant ce discours à Antalya et évoquant la possibilité que l'UE prenne l'initiative de la rupture, "Ah! Si seulement ils (l'UE) pouvaient prendre une telle décision ! Cela nous simplifierait la tâche." Dans la même intervention, il précisait vouloir rétablir la peine de mort. : "que disent-ils ? Que la Turquie n'aura pas sa place en Europe si nous rétablissons la peine de mort... Fort bien !"
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