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RES Offshore mène déjà un projet à Jersey (Photo RES DR)
Alstom et le néerlandais Dong Energy d’une part, Areva, GDF Suez et Vinci d’autre part, enfin Areva encore, avec Technip et l’espagnol Iberdrola d’autre part : l’appel d’offres lancé en 2011 par l’État français pour pourvoir cinq zones marines en parc éolien offshore ne laisse pas insensibles les gros porteurs.
Dernière évolution en date dans cette mise en concurrence, le Franco-Britannique Eole RES vient de passer un accord avec Iberdrola, qui le fait entrer dans la course dans deux zones éligibles : Saint-Brieuc au large de la Bretagne pour un projet de 500 MW, et Saint-Nazaire, un peu plus bas sur la côte atlantique, pour 750 MW.
Bien qu'il n’existe pas de contrat d’exclusivité entre les deux sociétés, elles ont l’habitude de travailler ensemble, l’ont déjà fait aux USA. Iberdrola mise sur la bonne connaissance des administrations françaises que possède RES, qui a progressivement pris le contrôle d’Eole, cette société languedocienne déjà porteuse de projets éoliens terrestres, depuis menés à bien.
Dernière évolution en date dans cette mise en concurrence, le Franco-Britannique Eole RES vient de passer un accord avec Iberdrola, qui le fait entrer dans la course dans deux zones éligibles : Saint-Brieuc au large de la Bretagne pour un projet de 500 MW, et Saint-Nazaire, un peu plus bas sur la côte atlantique, pour 750 MW.
Bien qu'il n’existe pas de contrat d’exclusivité entre les deux sociétés, elles ont l’habitude de travailler ensemble, l’ont déjà fait aux USA. Iberdrola mise sur la bonne connaissance des administrations françaises que possède RES, qui a progressivement pris le contrôle d’Eole, cette société languedocienne déjà porteuse de projets éoliens terrestres, depuis menés à bien.
Plus de 3 mds€ d'investissements prévus
Eole RES a également une expérience de l’éolien offshore, avec un projet de 100 MW qu’elle mène au large de l’île anglo-normande de Jersey, Grunes. Iberdrola, leader mondial du secteur, va évidemment amener sa capacité à investir des projets qui réclameraient, si le consortium était choisi, plus de 3 mds€.
Les quatre membres de ce consortium vont se partager les rôles : maîtrise d’ouvrage et développement pour le couple Iberdrola RES, construction des délicates fondations pour Technip, et des éléments aériens pour Areva, en particulier les pales.
«Ensemble, avec Areva et Technip, nous avons créé un consortium avec une vaste expérience», a expliqué Keit Anderson, chef de division éolien offshore d'Iberdrola, basé à Glasgow. Une remarque qu’auraient pu faire ses confrères et alliés d’Eole Res Offshore.
La Commission française de régulation de l’énergie doit recevoir les diverses offres avant la mi-janvier 2012. Il s’agit pour l’État, en France, de donner corps à une filière industrielle éolienne, la capacité des acteurs à produire sur le territoire sera sans doute déterminante dans le choix final.
Lire aussi : Areva et Iberdrola Renewables s'associent pour répondre à l'appel d'offres français
Les quatre membres de ce consortium vont se partager les rôles : maîtrise d’ouvrage et développement pour le couple Iberdrola RES, construction des délicates fondations pour Technip, et des éléments aériens pour Areva, en particulier les pales.
«Ensemble, avec Areva et Technip, nous avons créé un consortium avec une vaste expérience», a expliqué Keit Anderson, chef de division éolien offshore d'Iberdrola, basé à Glasgow. Une remarque qu’auraient pu faire ses confrères et alliés d’Eole Res Offshore.
La Commission française de régulation de l’énergie doit recevoir les diverses offres avant la mi-janvier 2012. Il s’agit pour l’État, en France, de donner corps à une filière industrielle éolienne, la capacité des acteurs à produire sur le territoire sera sans doute déterminante dans le choix final.
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