
Engie va supprimer 1900 postes en France. (logo Engie)
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FRANCE. Selon la CGT (Confédération générale du travail), la direction d’Engie (66,6 mrds€ de chiffre d'affaires en 2016) va supprimer 1 900 postes en France (sur un effectif de 153 000 dont 70 000 en France), d’ici à 2019. L’annonce du syndicat, survient quelques mois seulement après l’anniversaire des un an de Isabelle Kocher (mars 2017), à la tête de l’acteur mondial de l’énergie. Mais aussi au moment où les résultats financiers de l’entreprise française remontaient la pente. L'endettement de l'entreprise se réduisait de 12% (24,8 mrds€) par rapport aux prévisions, et les pertes étaient divisées par 6, atteignant les 400 M€.
Ces suppressions de postes concernent les activités de commerce pour les particuliers (600 postes) et les entreprises (200 postes) qui emploient aujourd'hui 25 000 salariés. Elles font écho, selon la CGT, à des délocalisations dans des pays à bas coûts. Par exemple le Maroc ou le Portugal. D’autres secteurs sont touchés, l’exploration-production (120 postes), les services informatiques (200 postes), le négoce (100 postes), Storengy (80 postes).
La direction d’Engie avait précisé mi-avril 2017 la suppression de 312 emplois à son siège social en France, un chiffre plus faible que ce qu’annonce la CGT. Le syndicat parle de 600 postes en moins.
Engie annonçait déjà mi-avril la suppression de 504 postes dans ses sièges en Europe. Notamment en France, en Belgique et au Royaume-Uni. Le groupe précisait alors qu’il s’agirait principalement de départs volontaires. L’acteur français n’a cette fois fait aucune annonce.
Ces suppressions de postes concernent les activités de commerce pour les particuliers (600 postes) et les entreprises (200 postes) qui emploient aujourd'hui 25 000 salariés. Elles font écho, selon la CGT, à des délocalisations dans des pays à bas coûts. Par exemple le Maroc ou le Portugal. D’autres secteurs sont touchés, l’exploration-production (120 postes), les services informatiques (200 postes), le négoce (100 postes), Storengy (80 postes).
La direction d’Engie avait précisé mi-avril 2017 la suppression de 312 emplois à son siège social en France, un chiffre plus faible que ce qu’annonce la CGT. Le syndicat parle de 600 postes en moins.
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