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FRANCE. L'énergéticien Engie (66,6 mrds€ de chiffre d'affaires en 2016) annonce un plan de décentralisation de son organisation qui touche principalement son siège répartit sur trois sites. Engie prévoit une bi-localisation du siège à Paris et Bruxelles et fermera son siège de Londres.
Ceci va entraîner, jusqu'en 2019, la suppression nette de 504 postes dont 312 en France, 116 en Belgique et 76 au Royaume-Uni.
La direction précise que ce plan "ne conduira à aucun licenciement et reposera uniquement sur le principe du volontariat". Le dispositif d'accompagnement comprend un plan de départ à la retraite, un programme favorisant la mobilité interne et la formation pour les salariés du siège et un plan de départs volontaires.
Parallèlement, Engie (153 000 salariés dont 70 000 en France) prévoit de recruter 12 000 salariés en 2017 dans le monde dont 4 000 en France.
Ceci va entraîner, jusqu'en 2019, la suppression nette de 504 postes dont 312 en France, 116 en Belgique et 76 au Royaume-Uni.
La direction précise que ce plan "ne conduira à aucun licenciement et reposera uniquement sur le principe du volontariat". Le dispositif d'accompagnement comprend un plan de départ à la retraite, un programme favorisant la mobilité interne et la formation pour les salariés du siège et un plan de départs volontaires.
Parallèlement, Engie (153 000 salariés dont 70 000 en France) prévoit de recruter 12 000 salariés en 2017 dans le monde dont 4 000 en France.