
A l'issue de deux années de bataille, l'espagnol Endesa est désormais contrôlé à 92% par l'italien Enel
ITALIE/FRANCE/ESPAGNE. A l’occasion du 27ème sommet franco-italien ce mardi 24 février qui prévoit notamment un accord de coopération dans l’énergie nucléaire civile, le groupe Enel , numéro un italien de l’électricité devrait prendre une part de 12,5% du futur réacteur EPR français qui doit être construit à Penly (Seine-Maritime). En échange, EDF participerait à un projet de centrale nucléaire de nouvelle génération en Italie.
Trois jours plus tôt, Enel a pris le contrôle de l’espagnol
Endesa, en rachetant les 25% d’actions que détenaient le groupe espagnol Acciona.
L’opération qui s’est faite pour un montant total de 11,1mds€ dont 2,9mds sous forme d’actifs, met fin à une bataille de près de deux ans pour le contrôle d’Endesa, l’ancienne société électrique nationale, privatisée par étapes à partir de 1988. Le 23 février, à la clôture de la bourse de Milan, l’action d’Enel avait gagné 2,06%.
Trois jours plus tôt, Enel a pris le contrôle de l’espagnol
Endesa, en rachetant les 25% d’actions que détenaient le groupe espagnol Acciona.
L’opération qui s’est faite pour un montant total de 11,1mds€ dont 2,9mds sous forme d’actifs, met fin à une bataille de près de deux ans pour le contrôle d’Endesa, l’ancienne société électrique nationale, privatisée par étapes à partir de 1988. Le 23 février, à la clôture de la bourse de Milan, l’action d’Enel avait gagné 2,06%.