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FRANCE. L'Agence de participations de l'Etat (APE) annonce, mardi 5 septembre 2017 au soir après la clôture de la bourse de Paris, une cession de 4,1% du capital d'Engie (ex-GDF Suez).
Se séparer de 99,9 millions de titres de l'énergéticien - placés auprès d'investisseurs institutionnels - permet à l'Etat français d'engranger 1,36 mrd€. C'est la seconde cession sur ce titre en 2017 après celle intervenue en janvier pour la même quantité d'actions mais pour un résultat moindre de 1,14 mrd€.
En plus de ces 99,9 millions d'actions, 11 millions des titres ont également été cédés mardi soir directement à Engie pour un montant de 153 M€. Dans un second temps, et avant un an, ces actions seront proposées aux salariés et anciens salariés éligibles. L'Etat français gagne donc sur ces opérations un total d'1,52 mrd€.
Paris, via l'APE, ne détient plus que 24,1% du capital d'Engie et 27,6% des droits de vote. Il en reste l'actionnaire de référence.
Pour Bruno Le Maire, ministre français de l'Economie, cette cession "constitue la première étape du plan de cessions d'actifs pour un un montant de 10 mrds€ que j'ai annoncé au mois de juillet. Le produit de cette opération permettra d'alimenter le fonds pour l'innovation, voulu par le président de la République, dès que celui-ci sera constitué. Dans l'intervalle, le produit de cette cession est déposé sur le compte d'affectation spéciale géré par l'APE."
Se séparer de 99,9 millions de titres de l'énergéticien - placés auprès d'investisseurs institutionnels - permet à l'Etat français d'engranger 1,36 mrd€. C'est la seconde cession sur ce titre en 2017 après celle intervenue en janvier pour la même quantité d'actions mais pour un résultat moindre de 1,14 mrd€.
En plus de ces 99,9 millions d'actions, 11 millions des titres ont également été cédés mardi soir directement à Engie pour un montant de 153 M€. Dans un second temps, et avant un an, ces actions seront proposées aux salariés et anciens salariés éligibles. L'Etat français gagne donc sur ces opérations un total d'1,52 mrd€.
Paris, via l'APE, ne détient plus que 24,1% du capital d'Engie et 27,6% des droits de vote. Il en reste l'actionnaire de référence.
Pour Bruno Le Maire, ministre français de l'Economie, cette cession "constitue la première étape du plan de cessions d'actifs pour un un montant de 10 mrds€ que j'ai annoncé au mois de juillet. Le produit de cette opération permettra d'alimenter le fonds pour l'innovation, voulu par le président de la République, dès que celui-ci sera constitué. Dans l'intervalle, le produit de cette cession est déposé sur le compte d'affectation spéciale géré par l'APE."