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FRANCE. Les services de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) ont perquisitionné jeudi 21 avril cinq établissements français du groupe PSA. Ces interventions étaient menées dans le cadre de l’enquête ouverte en septembre 2015 suite à l’affaire Volkswagen, dont les émissions polluantes des véhicules se révélaient nettement supérieures à ce qu’annonçait le constructeur allemand.
Les tests réalisés par l’expert indépendant Utac Ceram, pour le compte de la commission mise en place par la ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, « ont fait apparaître des anomalies en termes d’émission d’oxyde d’azote sur trois véhicules », indique la DGCCRF. L’enquête vise à déterminer « les raisons de ces anomalies ».
Dans un communiqué, PSA, « confiant dans ses technologies, confirme la conformité de ses véhicules en matière d’émission de polluants dans tous les pays où il opère ».
D’autres enquêtes similaires sont prévues « auprès des différents constructeurs commercialisant des véhicules en France, au fur et à mesure que les tests mettront en évidence des anomalies », conclut la DGCCRF.
Les tests réalisés par l’expert indépendant Utac Ceram, pour le compte de la commission mise en place par la ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, « ont fait apparaître des anomalies en termes d’émission d’oxyde d’azote sur trois véhicules », indique la DGCCRF. L’enquête vise à déterminer « les raisons de ces anomalies ».
Dans un communiqué, PSA, « confiant dans ses technologies, confirme la conformité de ses véhicules en matière d’émission de polluants dans tous les pays où il opère ».
D’autres enquêtes similaires sont prévues « auprès des différents constructeurs commercialisant des véhicules en France, au fur et à mesure que les tests mettront en évidence des anomalies », conclut la DGCCRF.