
Le Cheikh Ahmed bin Saeed Al Maktoum, PDG d'Emirates Airline, signe avec John Leahy, directerur commercial d'Airbus, un engagement pour la commande de 36 A380 (photo : Airbus)
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EUROPE / DUBAÏ. Lors de la présentation, lundi 15 janvier 2018, des résultats du groupe, John Leahy, directeur commercial d'Airbus, avouait que sans nouvelle commande de l'A380, le gros porteur n'aurait pas d'avenir. "Très honnêtement, si nous n'arrivons pas à un accord avec Emirates, nous n'aurons pas d'autre choix que d'arrêter le programme", indiquait-il.
La compagnie de Dubaï a entendu cet appel et signe, jeudi 18 janvier 2018, un bon de commande (16 mrds$ - 13,07 mrds€- prix catalogue) pour vingt A380 fermes et seize options. Ces trente-six appareils portent non seulement le carnet de commandes de l'avionneur européen à 131 unités (dont 60% pour Emirates) mais viennent sauver le plus gros avion commercial et ses 853 sièges. La chaîne de fabrication de l'A380 des usines Lagardère à Toulouse va pouvoir respirer pour au moins une décennie alors que la dernière commande datait d'avril 2016.
Emirates dispose déjà de 101 A380 (sur les 221 déjà livrés), soit la moitié de sa flotte, et demeure plus que jamais le plus client le plus important de ce gros porteur avec 178 appareils commandés sur 353.
La compagnie de Dubaï a entendu cet appel et signe, jeudi 18 janvier 2018, un bon de commande (16 mrds$ - 13,07 mrds€- prix catalogue) pour vingt A380 fermes et seize options. Ces trente-six appareils portent non seulement le carnet de commandes de l'avionneur européen à 131 unités (dont 60% pour Emirates) mais viennent sauver le plus gros avion commercial et ses 853 sièges. La chaîne de fabrication de l'A380 des usines Lagardère à Toulouse va pouvoir respirer pour au moins une décennie alors que la dernière commande datait d'avril 2016.
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