Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Le FMI critique la lenteur dans la mise en œuvre des réformes au Liban
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
Malte va recevoir 817 M€ de l'UE pour verdir et numériser son économie
CHYPRE. Tous les voyants se trouvaient au vert, les discussions se multipliaient depuis mai 2015 entre les deux représentants de l'île sous l'égide de Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'Onu, mais les négociations n'ont pas pu déboucher sur un accord.
Réunis depuis dimanche 20 novembre 2016 à Chardonne en Suisse, Nicos Anastasiades, président de la République de Chypre, et Mustafa Akinci, dirigeant de la République turque de Chypre du Nord (reconnue seulement par la Turquie), se sont séparés, mardi 22 novembre 2016 au matin, sans signer aucun texte ouvrant à la réunification de l'île méditerranéenne.
"Malgré tous leurs efforts, ils n'ont pas été en mesure de s'accorder sur de nouvelles convergences nécessaires sur les critères d'ajustement territorial, qui auraient ouvert la voie à la dernière phase de négociations. Les deux parties ont décidé de regagner Chypre et de réfléchir aux moyens de continuer", indique un communiqué des Nations-Unies.
Pourtant, les deux représentants se disaient prêts à trouver un accord avant la fin de l'année 2016. Les discussions portaient en principal sur la création d'une fédération de deux Etats autonomes mais aussi sur des concessions territoriales, la spoliation des biens et le départ des troupes turques de la partie Nord.
"Nous ne sommes pas du tout contents et regrettons sincèrement qu'à cause de l'attitude turque il n'a pas été possible de compléter un processus prometteur", a souligné Nicos Christodoulides, porte-parole de Nicos Anastasiades. L'autre partie critique les "positions maximalistes".
Aucune date pour une prochaine rencontre n'a été fixée.
Chypre est séparée depuis 1974 et l'invasion de sa partie nord après une tentative de coup d'Etat grec pour s'emparer de l'ile méditerranéenne.
Lire aussi :La réunification de Chypre plus que jamais à l'ordre du jour
Réunis depuis dimanche 20 novembre 2016 à Chardonne en Suisse, Nicos Anastasiades, président de la République de Chypre, et Mustafa Akinci, dirigeant de la République turque de Chypre du Nord (reconnue seulement par la Turquie), se sont séparés, mardi 22 novembre 2016 au matin, sans signer aucun texte ouvrant à la réunification de l'île méditerranéenne.
"Malgré tous leurs efforts, ils n'ont pas été en mesure de s'accorder sur de nouvelles convergences nécessaires sur les critères d'ajustement territorial, qui auraient ouvert la voie à la dernière phase de négociations. Les deux parties ont décidé de regagner Chypre et de réfléchir aux moyens de continuer", indique un communiqué des Nations-Unies.
Pourtant, les deux représentants se disaient prêts à trouver un accord avant la fin de l'année 2016. Les discussions portaient en principal sur la création d'une fédération de deux Etats autonomes mais aussi sur des concessions territoriales, la spoliation des biens et le départ des troupes turques de la partie Nord.
"Nous ne sommes pas du tout contents et regrettons sincèrement qu'à cause de l'attitude turque il n'a pas été possible de compléter un processus prometteur", a souligné Nicos Christodoulides, porte-parole de Nicos Anastasiades. L'autre partie critique les "positions maximalistes".
Aucune date pour une prochaine rencontre n'a été fixée.
Chypre est séparée depuis 1974 et l'invasion de sa partie nord après une tentative de coup d'Etat grec pour s'emparer de l'ile méditerranéenne.
Lire aussi :La réunification de Chypre plus que jamais à l'ordre du jour