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ALGÉRIE / ITALIE. Le patron du géant énergétique italien ENI, Paolo Scaroni, visé par une enquête du Parquet de Milan pour corruption en Algérie, a démenti le 7 février 2013 toute implication de sa part ainsi que celle de son groupe.
"ENI prend acte du fait que l'enquête du Parquet de Milan sur les activités de Saipem en Algérie a été étendue à ENI et à son directeur général", selon un communiqué du groupe.
"ENI et son directeur général se déclarent totalement étrangers à l'objet de l'enquête".
L'enquête concernait initialement sa seule filiale, le groupe d'ingénierie et exploration pétrolière Saipem, dont il détient 42,93%. ENI "coopère totalement" avec les enquêteurs, souligne le communiqué cité par les agences de presse.
L'administrateur délégué de Saipem, Pietro Franco Tali, avait démissionné début décembre 2012 après l'annonce de l'ouverture d'une enquête pour corruption sur les activités de Saipem en Algérie.
Le titre de ENI a lourdement chuté à la Bourse de Milan après ces annonces.
"ENI prend acte du fait que l'enquête du Parquet de Milan sur les activités de Saipem en Algérie a été étendue à ENI et à son directeur général", selon un communiqué du groupe.
"ENI et son directeur général se déclarent totalement étrangers à l'objet de l'enquête".
L'enquête concernait initialement sa seule filiale, le groupe d'ingénierie et exploration pétrolière Saipem, dont il détient 42,93%. ENI "coopère totalement" avec les enquêteurs, souligne le communiqué cité par les agences de presse.
L'administrateur délégué de Saipem, Pietro Franco Tali, avait démissionné début décembre 2012 après l'annonce de l'ouverture d'une enquête pour corruption sur les activités de Saipem en Algérie.
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