
L'éolienne (A) est reliée par des câbles enterrés à un poste électrique en mer (B) qui est lui-même relié au réseau électrique par une liaison sous-marine puis souterraine (C) (graphique : EDF Renouvelables)
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FRANCE. EDF Renouvelables (1,98 mrd€ de chiffre d'affaires et 3685 salariés) va construire un parc éolien en mer d'une capacité de 500 MW localisées entre 13 et 22 km au large des côtes de la ville française de Fécamp, un contrat attribué par l'Etat français en 2012.
Dans un communiqué publié mardi 2 janvier 2020, la filiale d'EDF précise qu'il comprendra soixante-et-une éoliennes et permettra de produire l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 770 000 personnes, soit plus de 60% des habitants du département de Seine-Maritime.
EDF renouvelables détient 35% du projet. A ses côtés dans le consortium, créé pour l'occasion sous le nom Eolien Maritime France, figurent deux autres actionnaires : le Canadien Enbridge Inc. avec également 35%, et l'Allemand wpd offshore avec 30%.
Les trois partenaires ont signé récemment des contrats de fourniture des matériels avec Siemens Gamesa Renewable Energy (SGRE) pour les turbines d'éoliennes, Bouygues construction (avec Saipem et Boskalis) pour leurs fondations, et Chantiers de l'Atlantique (avec GE Grid Solutions et SDI) pour la sous-station électrique en mer. SGRE implantera une usine de fabrication d'éoliennes au Havre qui nécessitera l'embauche de 750 salariés. Sa construction débutera au cours de l'été 2020. Les éoliennes seront assemblées dans le port de Cherbourg.
La fabrication des fondations mobilisera elle 600 personnes sur le site du Grand port maritime du Havre. Les premiers travaux à terre démarreront en juin 2020. Le chantier devrait mobiliser quelque 1 400 emplois locaux et son exploitation, d'une durée de vingt-cinq ans, une centaine d'emplois locaux pérennes dans le port de Fécamp pour assurer la maintenance des installations.
RTE sera responsable du raccordement au parc depuis la sous-station jusqu’à la côte puis au réseau électrique normand.
Le parc éolien produira ses premier Kw/h en 2023 et bénéficiera d'un contrat d'achat d'électricité (PPA) d'une durée de vingt ans, accordé par l'Etat français en juin 2018.
Dans un communiqué publié mardi 2 janvier 2020, la filiale d'EDF précise qu'il comprendra soixante-et-une éoliennes et permettra de produire l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 770 000 personnes, soit plus de 60% des habitants du département de Seine-Maritime.
EDF renouvelables détient 35% du projet. A ses côtés dans le consortium, créé pour l'occasion sous le nom Eolien Maritime France, figurent deux autres actionnaires : le Canadien Enbridge Inc. avec également 35%, et l'Allemand wpd offshore avec 30%.
Les trois partenaires ont signé récemment des contrats de fourniture des matériels avec Siemens Gamesa Renewable Energy (SGRE) pour les turbines d'éoliennes, Bouygues construction (avec Saipem et Boskalis) pour leurs fondations, et Chantiers de l'Atlantique (avec GE Grid Solutions et SDI) pour la sous-station électrique en mer. SGRE implantera une usine de fabrication d'éoliennes au Havre qui nécessitera l'embauche de 750 salariés. Sa construction débutera au cours de l'été 2020. Les éoliennes seront assemblées dans le port de Cherbourg.
La fabrication des fondations mobilisera elle 600 personnes sur le site du Grand port maritime du Havre. Les premiers travaux à terre démarreront en juin 2020. Le chantier devrait mobiliser quelque 1 400 emplois locaux et son exploitation, d'une durée de vingt-cinq ans, une centaine d'emplois locaux pérennes dans le port de Fécamp pour assurer la maintenance des installations.
RTE sera responsable du raccordement au parc depuis la sous-station jusqu’à la côte puis au réseau électrique normand.
Le parc éolien produira ses premier Kw/h en 2023 et bénéficiera d'un contrat d'achat d'électricité (PPA) d'une durée de vingt ans, accordé par l'Etat français en juin 2018.