Ne manquez pas !
-
Israël vaccinera les Palestiniens détenteurs d'un permis de travail contre la Covid-19
-
L'UE et le Qatar financeront à hauteur de 70 M€ un gazoduc entre Israël et la Bande de Gaza
-
La France numéro un mondial de la répression anticoncurrentielle avec 1,8 mrd€ d'amendes dressées en 2020
-
La frontière entre Gaza et l’Égypte désormais ouverte pour une durée indéterminée
ISRAËL / ÉTATS-UNIS. C'était l'une de ses promesses de campagne et la nomination de David Friedman comme ambassadeur d'Israël aux États-Unis allait dans ce sens, mais finalement Donald Trump renonce à transférer son ambassade de Tel Aviv à Jérusalem.
Jeudi 1er juin 2017, le président américain a signé une clause dérogatoire pour conserver la chancellerie américaine à Tel Aviv pour six mois supplémentaires. Ce texte revient sans cesse à l'ordre du jour depuis l'adoption par le Congrès américain du Jerusalem Embassy Act stipulant que l'ambassade américaine doit s'établir à Jérusalem, qu'il considére comme la capitale d'Israël. Un décret datant de novembre 1995 qui, tous les six mois, se trouve bloqué dans son application par la signature d'une clause dérogatoire.
Donald Trump poursuit donc la tradition. Dans un communiqué publié par la Maison Blanche, l'administration américaine précise que "le Président Trump a pris cette décision pour maximiser les chances de négocier avec succès un accord entre Israël et les Palestiniens".
Tout ne serait cependant que provisoire. "La question n'est pas de savoir si cela se produira, mais seulement quand", précise sans ambigüité l'exécutif américain dans ce communiqué.
Lire aussi :Donald Trump laisse planer le doute sur la solution à deux États entre Israël et la Palestine
Jeudi 1er juin 2017, le président américain a signé une clause dérogatoire pour conserver la chancellerie américaine à Tel Aviv pour six mois supplémentaires. Ce texte revient sans cesse à l'ordre du jour depuis l'adoption par le Congrès américain du Jerusalem Embassy Act stipulant que l'ambassade américaine doit s'établir à Jérusalem, qu'il considére comme la capitale d'Israël. Un décret datant de novembre 1995 qui, tous les six mois, se trouve bloqué dans son application par la signature d'une clause dérogatoire.
Donald Trump poursuit donc la tradition. Dans un communiqué publié par la Maison Blanche, l'administration américaine précise que "le Président Trump a pris cette décision pour maximiser les chances de négocier avec succès un accord entre Israël et les Palestiniens".
Tout ne serait cependant que provisoire. "La question n'est pas de savoir si cela se produira, mais seulement quand", précise sans ambigüité l'exécutif américain dans ce communiqué.
Lire aussi :Donald Trump laisse planer le doute sur la solution à deux États entre Israël et la Palestine