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Plus de mouvement de navires sur les terminaux pétroliers de Lavéra et Fos depuis quatre jours. (Photo GPMM)
FRANCE. jeudi 30 septembre 2010 à 14 heures, la direction du Grand port maritime de Marseille reçoit une délégation CGT UGICT-CGT afin de résoudre le conflit qui bloque depuis le 27 septembre 2010 les terminaux pétroliers de Fos et Lavéra.
La CGT est opposée à certaines modalités qui entourent la création d’une filiale destinée à gérer les terminaux pétroliers.
La CGT est opposée à certaines modalités qui entourent la création d’une filiale destinée à gérer les terminaux pétroliers.
L’activité énergétique du port de Marseille paralysée depuis quatre jours (avec 37 navires sur rade) sème un nouveau vent d'indignation et d’exaspération du côté des professionnels de la place portuaire fédérés au sein de l’Union maritime et Fluviale de Marseille-Fos que préside Hervé Balladur. « Si rien n’est fait en urgence, les investissements en cours seront menacés, ruinant ainsi nos espoirs de voir enfin se concrétiser ce qui était au départ le plan de relance des ports français. C’est tout un pan de notre économie régionale qui est en danger : 2741 établissements et 41 300 emplois sont liés au port », indique l’UMF qui demande à l’Etat et au GPMM de « prendre les dispositions qui s’imposent pour que la réforme portuaire aboutisse dans le respect de la loi du 4.07.2008 ».
Une inquiétude d’autant plus légitime que les grèves pourraient s’étendre également dès vendredi 1er octobre 2010 aux terminaux marchandises dans le cadre du mot d’ordre de grève national de 48 heures par semaine contre la réforme des retraites et pour que soit prise en compte la pénibilité du travail au sein des professions portuaires d’agent et de docker.
Une inquiétude d’autant plus légitime que les grèves pourraient s’étendre également dès vendredi 1er octobre 2010 aux terminaux marchandises dans le cadre du mot d’ordre de grève national de 48 heures par semaine contre la réforme des retraites et pour que soit prise en compte la pénibilité du travail au sein des professions portuaires d’agent et de docker.