Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
MONDE. Le podium ne change pas. Jeff Bezos (fondateur d'Amazon avec 12 mrds$ de fortune personnelle), Bill Gates (fondateur de Microsoft avec 90 mrds$) et le milliardaire Warren Buffet (84 mrds$) trustent toujours les trois premières places du classement annuel 2018 des plus grandes fortunes mondiales. La liste, publiée mardi 6 mars 2018 par le magazine Forbes, contient par contre de grosses surprises avec deux Français qui se distinguent.
D'abord Bernard Arnault. Onzième lors du dernier classement, le patron de LVMH se voit propulsé à la quatrième place avec une fortune estimée à 72,2 mrds$ (58,6 mrds€) et à la première place européenne, ce qui n'était pas arrivé depuis 2012.
Une progression expliquée par la très bonne santé de son groupe dont le résultat net 2017 se trouve en hausse de 29% grâce notamment au rachat de Christian Dior Couture.
Sa compatriote, Françoise Bettencourt Meyers fait, elle, une entrée fracassante dans cette liste à la dix-huitième position, grâce à une fortune estimée à 42,2 mrds$ (34,2 mrds€) principalement héritée de sa mère Liliane Bettencourt, ancienne propriétaire de l'Oréal décédée en septembre 2017 à l'âge de quatre-vingt-quatorze ans. Elle devient également la seconde femme la plus riche au monde juste derrière Alice Walton (46 mrds$ et 16e) héritière elle des supermarchés américains Walmart qui ravit justement le titre à Liliane Bettencourt.
D'abord Bernard Arnault. Onzième lors du dernier classement, le patron de LVMH se voit propulsé à la quatrième place avec une fortune estimée à 72,2 mrds$ (58,6 mrds€) et à la première place européenne, ce qui n'était pas arrivé depuis 2012.
Une progression expliquée par la très bonne santé de son groupe dont le résultat net 2017 se trouve en hausse de 29% grâce notamment au rachat de Christian Dior Couture.
Sa compatriote, Françoise Bettencourt Meyers fait, elle, une entrée fracassante dans cette liste à la dix-huitième position, grâce à une fortune estimée à 42,2 mrds$ (34,2 mrds€) principalement héritée de sa mère Liliane Bettencourt, ancienne propriétaire de l'Oréal décédée en septembre 2017 à l'âge de quatre-vingt-quatorze ans. Elle devient également la seconde femme la plus riche au monde juste derrière Alice Walton (46 mrds$ et 16e) héritière elle des supermarchés américains Walmart qui ravit justement le titre à Liliane Bettencourt.
Les Méditerranéens du sud et de l'Est en bas de classement
Le Top 20 de Forbes ne recense qu'un seul autre méditerranéen en la personne d'Amancio Ortega (Espagne). Le créateur de la marque Zara et patron du groupe Inditex occupe la sixième place juste derrière, et à un tout petit milliard de dollars près, Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook.
Il faut atteindre ensuite le trentième place pour voir figurer le Français François Pinault (groupe de luxe Kerry), la trente-huitième avec l'Italien Giovanni Ferrero (Nutella), la quarante-et-unième avec le Français Serge Dassault, la quarante-cinquième avec l'Italien Leonardo Del Vecchio (lunettes Luxottica) et la quatre-vingt-dix-septième avec le Français Emmanuel Besnier (Lactalis). Aucun autre Méditerranéen ne se trouve dans les 100 premières fortunes mondiales.
Le premier méditerranéen des rives Sud et Est, l'Egyptien Nassef Sawiris (Orascom Construction) n'arrive qu'à la 251e place et les Israéliens Stef Wertheimer et Shari Arison respectivement à la 315e et 334e places suivis des Turcs Murat Ulker (422e) et Erman Ilicak (550e), ce dernier ex-aequo avec l'Egyptien Naguib Sawiris. Les Israéliens Yitzhak Tshuva (606e), Idan Ofer (629e), Arnon Milchan (652e), Teddy Sagi (679e) ferment la marche des Méditerranéens du sud présents dans les 800 premiers de cette liste.
Il faut atteindre ensuite le trentième place pour voir figurer le Français François Pinault (groupe de luxe Kerry), la trente-huitième avec l'Italien Giovanni Ferrero (Nutella), la quarante-et-unième avec le Français Serge Dassault, la quarante-cinquième avec l'Italien Leonardo Del Vecchio (lunettes Luxottica) et la quatre-vingt-dix-septième avec le Français Emmanuel Besnier (Lactalis). Aucun autre Méditerranéen ne se trouve dans les 100 premières fortunes mondiales.
Le premier méditerranéen des rives Sud et Est, l'Egyptien Nassef Sawiris (Orascom Construction) n'arrive qu'à la 251e place et les Israéliens Stef Wertheimer et Shari Arison respectivement à la 315e et 334e places suivis des Turcs Murat Ulker (422e) et Erman Ilicak (550e), ce dernier ex-aequo avec l'Egyptien Naguib Sawiris. Les Israéliens Yitzhak Tshuva (606e), Idan Ofer (629e), Arnon Milchan (652e), Teddy Sagi (679e) ferment la marche des Méditerranéens du sud présents dans les 800 premiers de cette liste.