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Des voitures turques pourraient remplacer dès la prochaine décennie les européennes, les américaines ou les asiatiques. (photo : CG)
TURQUIE. Le ministre de l’Économie turque, Zafer Caglayan, est convaincu que son pays construira d’ici 2023 « ses propres voitures, ses avions ainsi que ses hélicoptères ». Le ministre des Transports, Binali Yildirim, avait déjà annoncé début 2011 que la Turquie se positionnait dans ces secteurs industriels, évoquant également la volonté du pays de construire ses propres satellites. Le gouvernement a fixé cette échéance de 2023, car elle correspond au premier centenaire de la République turque.
La Turquie qui, malgré la crise économique mondiale, prévoit une croissance de 4% pour 2012 (le Fonds monétaire international table de son côté sur 2,3%), héberge de nombreux sous-traitants de ces industries. Mais pour le moment, elle ne dispose pas de ses propres filières. L’enjeu pour le pays est donc de maîtriser ses chaînes de production, de l’approvisionnement en matières premières jusqu’à la mise sur le marché.
Lire aussi : Les conseils de l’OCDE à la Turquie
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