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Appel à manifester le 20 février 2011 au Maroc (DR)
MAROC. Une trentaine de journalistes marocains indépendants vient d’apporter son soutien inconditionnel aux revendications du mouvement du 20 février 2011 et descendra dans la rue dimanche prochain.
Parmi eux : Aboubakr Jamaï et Ali Amar, anciens du Journal Hebdomadaire, Ali Lmrabet, fondateur de l’hebdomadaire Demain et interdit d’exercer au Maroc, Driss Ksikes, ancien rédacteur en chef de Nichane, Khalid Gueddar, caricaturiste, Ali Anouzla, directeur du site Lakome.info
Ces journalistes, empêchés par le passé d’exercer normalement leur profession, dénoncent la campagne de diffamation et de dénigrement par les médias proches du pouvoir et sur Internet, à l’encontre des jeunes du mouvement du 20 février.
Ils réclament de permettre aux journalistes marocains et étrangers de faire leur travail d’information et de suivi des événements qui s’annoncent. Ils demandent l’arrêt immédiat de la manipulation médiatique menée par les télévisions publiques, l’Agence officielle MAP et les journaux proches du pouvoir.
"La répression des libertés fondamentales pour la démocratie, liberté de parole et d’expression et de la presse, est toujours dans l’agenda du pouvoir au Maroc " souligne un communiqué.
Parmi eux : Aboubakr Jamaï et Ali Amar, anciens du Journal Hebdomadaire, Ali Lmrabet, fondateur de l’hebdomadaire Demain et interdit d’exercer au Maroc, Driss Ksikes, ancien rédacteur en chef de Nichane, Khalid Gueddar, caricaturiste, Ali Anouzla, directeur du site Lakome.info
Ces journalistes, empêchés par le passé d’exercer normalement leur profession, dénoncent la campagne de diffamation et de dénigrement par les médias proches du pouvoir et sur Internet, à l’encontre des jeunes du mouvement du 20 février.
Ils réclament de permettre aux journalistes marocains et étrangers de faire leur travail d’information et de suivi des événements qui s’annoncent. Ils demandent l’arrêt immédiat de la manipulation médiatique menée par les télévisions publiques, l’Agence officielle MAP et les journaux proches du pouvoir.
"La répression des libertés fondamentales pour la démocratie, liberté de parole et d’expression et de la presse, est toujours dans l’agenda du pouvoir au Maroc " souligne un communiqué.