Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel

Euler Hermes enregistrait un chiffre d’affaires consolidé de 2,5 mrds€ en 2013 (photo EH)
MÉDITERRANÉE. Selon les pronostics pays d’Euler Hermes, le nombre total de défaillances d'entreprise devrait diminuer de 8% dans le monde en 2014, tout en restant "supérieur à son niveau d’avant récession".
Spécialisé dans l'assurance-crédit, Euler Hermes emploie plus de 6 000 employés. Le groupe, noté AA- par Standard & Poor’s, enregistrait un chiffre d’affaires consolidé de 2,5 mrds€ en 2013.
Wilfried Verstraete, président du Directoire d’Euler Hermes, reste prudent. Si l'année 2014 semble "prometteuse", toutes les entreprises ne sont pas "remontées en première division". "Bon nombre d’entreprises voient leur chiffre d’affaires stagner (...) En outre, la baisse du nombre de défaillances ne doit pas éclipser le fait que le risque d’impayés demeure une réalité dans un monde où la croissance accélère", enchérit-t-il.
Les pays européens devraient connaître une nette amélioration avec le "retour de la compétitivité et le regain de confiance des investisseurs", particulièrement pour les entreprises privées d'Espagne (-23% du nombre de défaillances en 2014) et du Portugal (-12%).
Cependant, l'étude note qu'un "grand nombre de secteurs" demeurent exposés aux faillites, notamment en Europe du sud, où "la demande intérieure est restée longtemps déprimée". Ainsi, la France (-1%), la Grèce (+3%) et l'Italie (+3%) devraient rester très sujettes au phénomène, tandis qu'en Europe centrale et orientale les faillites ne diminueront que de 2% en 2014.
Spécialisé dans l'assurance-crédit, Euler Hermes emploie plus de 6 000 employés. Le groupe, noté AA- par Standard & Poor’s, enregistrait un chiffre d’affaires consolidé de 2,5 mrds€ en 2013.
Wilfried Verstraete, président du Directoire d’Euler Hermes, reste prudent. Si l'année 2014 semble "prometteuse", toutes les entreprises ne sont pas "remontées en première division". "Bon nombre d’entreprises voient leur chiffre d’affaires stagner (...) En outre, la baisse du nombre de défaillances ne doit pas éclipser le fait que le risque d’impayés demeure une réalité dans un monde où la croissance accélère", enchérit-t-il.
Les pays européens devraient connaître une nette amélioration avec le "retour de la compétitivité et le regain de confiance des investisseurs", particulièrement pour les entreprises privées d'Espagne (-23% du nombre de défaillances en 2014) et du Portugal (-12%).
Cependant, l'étude note qu'un "grand nombre de secteurs" demeurent exposés aux faillites, notamment en Europe du sud, où "la demande intérieure est restée longtemps déprimée". Ainsi, la France (-1%), la Grèce (+3%) et l'Italie (+3%) devraient rester très sujettes au phénomène, tandis qu'en Europe centrale et orientale les faillites ne diminueront que de 2% en 2014.
La Turquie (-2%) restera confrontée à "une instabilité extérieure (...) ainsi qu’à un ralentissement de la croissance" affectant "la rentabilité et la solvabilité des entreprises", note l'étude. Le Maroc devrait voir le nombre de faillites d'entreprises gonfler de 10% en 2014 !
En 2015, Euler Hermes table sur une baisse "limitée" du volume mondial de défaillances, à -3%.
En 2015, Euler Hermes table sur une baisse "limitée" du volume mondial de défaillances, à -3%.