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TUNISIE. Slim Chaker, ministre tunisien de la Santé, est décédé dimanche 8 octobre 2017 d'un malaise cardiaque survenu après une course. L'homme politique âgé de cinquante-six ans venait de participer à une toute petite partie du marathon de Nabeul (500 mètres) - organisé par l'association Nourane au profit de la lutte contre le cancer du sein - avant de prononcer un discours.
Il s'est écroulé en entrant dans sa voiture. Admis à l'hôpital de Grombalia puis transféré à l'hôpital militaire de Tunis, il y a trouvé la mort.
Slim Chaker avait été nommé ministre de la santé le 7 septembre 2017 après avoir occupé plusieurs postes politiques depuis la révolution de 2011 tant comme secrétaire d'Etat ou ministre (Tourisme, Jeunesse et Sports, Finances) que comme conseiller du président Béji Caïd Essebsi.
Il avait débuté sa carrière au ministère du plan en 1986 avant d'exercer dans le secteur bancaire (directeur adjoint de la Banque tuniso-qatarie) puis comme directeur des études du Centre technique du textile (1992 à 1998) et directeur coordonnateur du Fonds d'accès aux marchés extérieurs (1998 à 2008). Avant de devenir ministre, il était consultant international sur le Programme européen pour la promotion des exportations en Jordanie, chargé de la mise à niveau du secteur des services et du tourisme.
Il s'est écroulé en entrant dans sa voiture. Admis à l'hôpital de Grombalia puis transféré à l'hôpital militaire de Tunis, il y a trouvé la mort.
Slim Chaker avait été nommé ministre de la santé le 7 septembre 2017 après avoir occupé plusieurs postes politiques depuis la révolution de 2011 tant comme secrétaire d'Etat ou ministre (Tourisme, Jeunesse et Sports, Finances) que comme conseiller du président Béji Caïd Essebsi.
Il avait débuté sa carrière au ministère du plan en 1986 avant d'exercer dans le secteur bancaire (directeur adjoint de la Banque tuniso-qatarie) puis comme directeur des études du Centre technique du textile (1992 à 1998) et directeur coordonnateur du Fonds d'accès aux marchés extérieurs (1998 à 2008). Avant de devenir ministre, il était consultant international sur le Programme européen pour la promotion des exportations en Jordanie, chargé de la mise à niveau du secteur des services et du tourisme.