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PORTUGAL. Le processus de privatisation de la compagnie aérienne TAP vient d’être lancée à Lisbonne. Après l’échec d’une première tentative en 2012, le gouvernement espère pouvoir annoncer le vainqueur en juin 2015.
Le repreneur devra pouvoir garantir un investissement de 300 M€ dans l’avionneur national. Une somme plancher, qui pourra également prendre la forme de fournitures de nouveaux appareils.
Aucune information sur d’éventuels repreneurs n’a été fournie, mais selon le Secrétariat d’état portugais au transport, la priorité sera donnée à un investisseur dont l’offre sera au-delà d’une participation financière : maintien des routes aériennes et leur développement, protection de l’image du Portugal et perspectives stratégiques.
Un accord a été conclu entre le gouvernement et les représentants des travailleurs de la compagnie inquiets pour leur avenir. Dans la réalité, cet accord, qui ferait opposition à un licenciement collectif, ne concernerait que 30 % des salariés de l’entreprise nationale.
La privatisation de la TAP, incluse dans le programme d’ajustement financier de l’Union Européenne et du Fonds Monétaire International, suscite un lever de boucliers au Portugal. L’opposition politique, de nombreux experts et la société civile refusent de voir changer de main une entreprise à laquelle les Portugais s’identifient.
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