Voir aussi
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
La Tunisie s'apprête à conclure un accord avec le FMI
-
Le Président tunisien veut des députés indépendants des partis politiques
-
La Tunisie cumule les mauvais résultats économiques
TUNISIE. Avec un prix du baril passé en quatre ans de 122 à 34 $, le secteur du pétrole est en crise. Les quelques puits exploités en Tunisie n'y échappent pas. Dans un entretien accordé à l'agence Tap, le ministre l’Énergie et des Mines, Mongi Marzouk, constate la baisse de production due à la non-rentabilité de certains puits, à assèchement des gisements et à des mouvements sociaux qui bloquent des sites.
Le gouvernement tunisien « œuvre à aider les sociétés pétrolières installées en Tunisie à surmonter les difficultés » explique Mongi Marzouk.
À Kerkennah, le Britannique Petrofac menace de quitter la Tunisie. Les 1200 employés du site sont au chômage technique en raison du blocage des installations par plusieurs centaines de Tunisiens qui réclament d'être embauchés.
La Tunisie produit quotidiennement 50 000 barils de pétrole (70 000 en 2012).
Le gouvernement tunisien « œuvre à aider les sociétés pétrolières installées en Tunisie à surmonter les difficultés » explique Mongi Marzouk.
À Kerkennah, le Britannique Petrofac menace de quitter la Tunisie. Les 1200 employés du site sont au chômage technique en raison du blocage des installations par plusieurs centaines de Tunisiens qui réclament d'être embauchés.
La Tunisie produit quotidiennement 50 000 barils de pétrole (70 000 en 2012).