Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
La Cnuced s'alarme de l'augmentation du chômage et de la pauvreté en Palestine
-
La Finul rempile pour un an et continuera à assurer un soutien logistique à l'armée libanaise
ISRAËL. Avigdor Lieberman a démissionné, mercredi 14 novembre 2018, de son poste de ministre israélien de la Défense. Ce nationaliste, chef du parti russophone Israël Beitenou (Israël notre maison), entend ainsi protester contre un cessez-le-feu signé, indirectement, entre le gouvernement de Benjamin Netanyahou et le Hamas, après 48 heures de violents échanges de tirs entre Tsahal et le Hamas à la frontière entre la bande de Gaza et Israël.
Avigdor Lieberman parle de "capitulation devant le terrorisme", indiquant que "l'Etat achète le calme à court-terme au prix de graves dommages à long-terme pour la sécurité nationale."
Le premier ministre israélien avait assuré que "dans les périodes d'urgence, le public ne peut pas toujours être mis dans la confidence de décisions essentielles pour la sécurité du pays et de considérations qui doivent rester secrètes pour l'ennemi." Benjamin Netanyahou avait ajouté, "nos ennemis nous ont suppliés d'accepter ce cessez-le-feu et ils savent très bien pourquoi ils l'ont fait." De son côté les Palestiniens du Hamas, via un communiqué, se félicitent d'avoir pu "ébranler la scène politique israélienne" et évoquent "une victoire politique".
Avigdor Lieberman appelle désormais à des élections anticipées, les prochaines législatives ne devant se dérouler que dans un an, en novembre 2019.
Avigdor Lieberman parle de "capitulation devant le terrorisme", indiquant que "l'Etat achète le calme à court-terme au prix de graves dommages à long-terme pour la sécurité nationale."
Le premier ministre israélien avait assuré que "dans les périodes d'urgence, le public ne peut pas toujours être mis dans la confidence de décisions essentielles pour la sécurité du pays et de considérations qui doivent rester secrètes pour l'ennemi." Benjamin Netanyahou avait ajouté, "nos ennemis nous ont suppliés d'accepter ce cessez-le-feu et ils savent très bien pourquoi ils l'ont fait." De son côté les Palestiniens du Hamas, via un communiqué, se félicitent d'avoir pu "ébranler la scène politique israélienne" et évoquent "une victoire politique".
Avigdor Lieberman appelle désormais à des élections anticipées, les prochaines législatives ne devant se dérouler que dans un an, en novembre 2019.