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TUNISIE. Le Conseil national tunisien des aires protégées marines et côtières a décidé de lancer le processus de création de quatre des douze aires maritimes protégées prévues. Elles ont toutes été proposées par l’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL).
Ces aires maritimes verront le jour près de l’archipel de la Galite (Bizerte), de Zembra (Golfe de Tunis), des îles Kneiss et Kuriat près de Sfax. Selon le ministre tunisien des Affaires locales et de l’environnement, Riadh Mouakher, « ces aires font l’objet d’études scientifiques réalisées par l’APAL et renferment une grande diversité biologique. »
La création de ces aires maritimes s’inscrit dans l’application de la Convention de Barcelone, dont la Tunisie est signataire. Amendée en 1995, ce texte vise à réduire la pollution dans la Méditerranée et à protéger le milieu marin en vue de contribuer à son développement durable.
« Le coût annuel de ces aires marines protégées s’élève à 500 000 dinars (181 000 €) », déclare Sabaa Glouz, chargée de la direction de la gestion des écosystèmes côtiers. Elle espère qu’à moyen terme, une dizaine de ces aires vont apparaître, « pour créer un réel processus de gestion durable de la biodiversité. »
L’écosystème marin tunisien se trouve en mauvaise situation à cause de la pollution dû au transport maritime et de la pêche intensifiée et non contrôlée dans ses eaux.
Ces aires maritimes verront le jour près de l’archipel de la Galite (Bizerte), de Zembra (Golfe de Tunis), des îles Kneiss et Kuriat près de Sfax. Selon le ministre tunisien des Affaires locales et de l’environnement, Riadh Mouakher, « ces aires font l’objet d’études scientifiques réalisées par l’APAL et renferment une grande diversité biologique. »
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« Le coût annuel de ces aires marines protégées s’élève à 500 000 dinars (181 000 €) », déclare Sabaa Glouz, chargée de la direction de la gestion des écosystèmes côtiers. Elle espère qu’à moyen terme, une dizaine de ces aires vont apparaître, « pour créer un réel processus de gestion durable de la biodiversité. »
L’écosystème marin tunisien se trouve en mauvaise situation à cause de la pollution dû au transport maritime et de la pêche intensifiée et non contrôlée dans ses eaux.