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Les aéroports portugais en pleine privatisation (photo ANA)
PORTUGAL. Le gouvernement portugais a retenu cinq éventuels repreneurs de ANA, les aéroports nationaux pour la seconde phase de la privatisation de l’opérateur portuaire. Il s’agit du Français Vinci, du Suisse Flughafen Zurich, de l’Allemand Fraport, des Colombiens de Odinsa (allié au consortium Blink) et des Argentins Corpóracion América. Les Portugais Mota-Engil, Sonae Sierra et Auto Sueco sont associés aux candidats colombiens et argentins. Deux consortiums brésiliens, exclus du second tour, étudient des possibilités de rapprochement avec les cinq concurrents en lice.
Selon la presse portugaise, les Français de Vinci seraient les mieux placés en ce qui concerne le montant de l’offre.
Un total de 54 investisseurs avait montré un intérêt au rachat de l’entreprise d’État, que le gouvernement Portugais veut vendre au début de 2013. La cession de l’opérateur demeure un préalable à la vente de la compagnie aérienne TAP.
A ce stade, le gouvernement doit résoudre le problème de la vente de la concession des aéroports à ANA, une opération en attente du feu vert de Bruxelles. Cette étape s'avère nécessaire pour que le Portugal puisse atteindre son objectif de revenir à un déficit de 5 % du PIB en 2012 comme le prévoit son engagement auprès des bailleurs de fonds internationaux ( FMI, Banque Européenne et Union Européenne)
Selon l’exécutif portugais, les propositions vont jusqu’à treize fois l’EBITDA de ANA, soit 2,6 mrds€ une valeur deux fois supérieures aux premières propositions, à la satisfaction de l’exécutif. Selon le cahier des charges, le futur repreneur doit être gestionnaire d’un aéroport justifiant d’un trafic de 10 millions de passagers, disposer de capitaux propres de 2 mrds€, et justifier un réseau de transports dégageant 400 M€ de chiffre d’affaires par an.
Les propositions « garantissent le maintien des postes de travail et prévoient pour certaines de les augmenter » précise Sergio Monteiro, Secrétaire d’État aux Transports.
Selon la presse portugaise, les Français de Vinci seraient les mieux placés en ce qui concerne le montant de l’offre.
Un total de 54 investisseurs avait montré un intérêt au rachat de l’entreprise d’État, que le gouvernement Portugais veut vendre au début de 2013. La cession de l’opérateur demeure un préalable à la vente de la compagnie aérienne TAP.
A ce stade, le gouvernement doit résoudre le problème de la vente de la concession des aéroports à ANA, une opération en attente du feu vert de Bruxelles. Cette étape s'avère nécessaire pour que le Portugal puisse atteindre son objectif de revenir à un déficit de 5 % du PIB en 2012 comme le prévoit son engagement auprès des bailleurs de fonds internationaux ( FMI, Banque Européenne et Union Européenne)
Selon l’exécutif portugais, les propositions vont jusqu’à treize fois l’EBITDA de ANA, soit 2,6 mrds€ une valeur deux fois supérieures aux premières propositions, à la satisfaction de l’exécutif. Selon le cahier des charges, le futur repreneur doit être gestionnaire d’un aéroport justifiant d’un trafic de 10 millions de passagers, disposer de capitaux propres de 2 mrds€, et justifier un réseau de transports dégageant 400 M€ de chiffre d’affaires par an.
Les propositions « garantissent le maintien des postes de travail et prévoient pour certaines de les augmenter » précise Sergio Monteiro, Secrétaire d’État aux Transports.