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Cellcom commercialise aussi une tablette, Everpad (photo Cellcom)
TUNISIE. 2014 commence sous de bons auspices avec la multiplication des introductions à la Bourse de Tunis. Après celle de Carthage Cement et celle de la société Lilas (8 janvier 2014), c’est au tour de Cellcom de mener son introduction..
Née en 1997, la société abandonne en 2009 la distribution de marques internationales pour ne plus commercialiser que des produits de téléphonie mobile sous sa propre marque Evertek (lancée en juin 2006 avec d'abord des fours micro-onde et des lecteurs de DVD) qui compte une centaine de modèles.
Cellcom compte un réseau de distribution de plus de 1 000 points de vente, détient une part de marché estimée à 15% (3ème) et a écoulé 230 000 téléphones portables en 2012 pour un chiffre d’affaires de 18,734 millions de dinars (8,3 M€) et devrait dépasser les 32 millions en 2013.
Jusqu’ici, la société a été freinée dans son élan d’expansion par manque de financements. Par sa récente introduction, elle va lever les fonds nécessaires pour lui permettre de se développer à l’international, notamment sur le marché maghrébin où elle est déjà présente au Maroc et l'était en Libye avant la révolution.
L’entreprise vise aussi et particulièrement le marché africain où plusieurs pays ont déjà manifesté leur intérêt. «Notre ambition est de contribuer au développement d’une marque tunisienne qui encourage la montée de la haute technologie en Tunisie. Nous aspirons à devenir dans les cinq prochaines années une marque africaine incontournable» affirme Mohamed Ben Rhouma, Président directeur général de Cellcom.
Née en 1997, la société abandonne en 2009 la distribution de marques internationales pour ne plus commercialiser que des produits de téléphonie mobile sous sa propre marque Evertek (lancée en juin 2006 avec d'abord des fours micro-onde et des lecteurs de DVD) qui compte une centaine de modèles.
Cellcom compte un réseau de distribution de plus de 1 000 points de vente, détient une part de marché estimée à 15% (3ème) et a écoulé 230 000 téléphones portables en 2012 pour un chiffre d’affaires de 18,734 millions de dinars (8,3 M€) et devrait dépasser les 32 millions en 2013.
Jusqu’ici, la société a été freinée dans son élan d’expansion par manque de financements. Par sa récente introduction, elle va lever les fonds nécessaires pour lui permettre de se développer à l’international, notamment sur le marché maghrébin où elle est déjà présente au Maroc et l'était en Libye avant la révolution.
L’entreprise vise aussi et particulièrement le marché africain où plusieurs pays ont déjà manifesté leur intérêt. «Notre ambition est de contribuer au développement d’une marque tunisienne qui encourage la montée de la haute technologie en Tunisie. Nous aspirons à devenir dans les cinq prochaines années une marque africaine incontournable» affirme Mohamed Ben Rhouma, Président directeur général de Cellcom.
Début d'année faste pour la Bourse de Tunis
L'introduction en Bourse de la société qui se poursuit jusqu’au 17 janvier 2014 se fait par voie de souscription publique à 1 395 354 actions au prix unitaire de 7 Dt, soit un nominal de 1 Dt et une prime d'émission de 6 Dt. L’introduction porte le capital de 3 531 296 dinars à 4 461 532 dinars.
De façon plus générale, la Bourse de Tunis où les introductions se multiplient, chavire en fonction de l’actualité politique qui secoue le pays mais depuis l’annonce de la désignation d’un nouveau chef de gouvernement et le début des votes sur la constitution tunisienne, la tendance est à la hausse.
En 2013, la Bourse de Tunis a connu une année difficile avec une baisse du volume des transactions et un clair repli des cours à cause de la situation économique et politique du pays. Cependant, elle a enregistré pas moins de treize introductions pour une levée de fond de 390 millions de dinars (172,5 M€). Depuis la création de la Bourse de Tunis, en 1969, 2013 est l’année la plus faste avec un rythme d’introductions jamais vécu auparavant et des perspectives encore plus prometteuses.
De façon plus générale, la Bourse de Tunis où les introductions se multiplient, chavire en fonction de l’actualité politique qui secoue le pays mais depuis l’annonce de la désignation d’un nouveau chef de gouvernement et le début des votes sur la constitution tunisienne, la tendance est à la hausse.
En 2013, la Bourse de Tunis a connu une année difficile avec une baisse du volume des transactions et un clair repli des cours à cause de la situation économique et politique du pays. Cependant, elle a enregistré pas moins de treize introductions pour une levée de fond de 390 millions de dinars (172,5 M€). Depuis la création de la Bourse de Tunis, en 1969, 2013 est l’année la plus faste avec un rythme d’introductions jamais vécu auparavant et des perspectives encore plus prometteuses.