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Carlos Ghosn va devoir reporter sa conférence de presse où il prévoyait de tout dire sur la vérité des faits (photo : Renault)
JAPON / FRANCE. Carlos Ghosn restera finalement incarcéré jusqu'au 14 avril 2019. Le tribunal de Tokyo vient d'autoriser le maintien en garde à vue de l'ancien Président de l'Alliance Renault-Nissan-Mitsibushi.
Arrêté jeudi 4 avril 2019 au petit matin alors qu'il bénéficiait, depuis le 6 mars 2019, d'une libération sous caution après 108 jours passés en détention, Carlos Ghosn doit affronter un nouveau chef d'accusation.
Des soupçons d'enrichissement personnel au détriment de Nissan justifieraient, selon la justice japonaise, ce nouveau séjour en prison. Elle évoque un "risque d'altération des preuves" et prépare une quatrième mise en examen.
Arrêté jeudi 4 avril 2019 au petit matin alors qu'il bénéficiait, depuis le 6 mars 2019, d'une libération sous caution après 108 jours passés en détention, Carlos Ghosn doit affronter un nouveau chef d'accusation.
Des soupçons d'enrichissement personnel au détriment de Nissan justifieraient, selon la justice japonaise, ce nouveau séjour en prison. Elle évoque un "risque d'altération des preuves" et prépare une quatrième mise en examen.
Son avocat, Junichiro Hironaka prévoit de faire appel de cette décision alors que Carlos Ghosn demande l'aide du gouvernement français dans ce dossier pour "me défendre, pour préserver mes droits en tant que citoyen pris dans un engrenage incroyable à l'étranger". Il qualifie sa dernière arrestation de "révoltante et arbitraire".
En prison au moins jusqu'au 14 avril 2019, l'homme d'affaires franco-libanais ne pourra donc pas donner la conférence de presse qu'il avait programmé pour le jeudi 11 avril 2019. Carlos Ghosn devait y clamer son innocence et "dire la vérité sur ce qui se passe."
En prison au moins jusqu'au 14 avril 2019, l'homme d'affaires franco-libanais ne pourra donc pas donner la conférence de presse qu'il avait programmé pour le jeudi 11 avril 2019. Carlos Ghosn devait y clamer son innocence et "dire la vérité sur ce qui se passe."