
Carlos Ghosn demanderait 16 M€ à NMVB (photo : DR)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
JAPON / FRANCE. L'ancien Pdg de l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi toujours empêtré dans ces affaires judiciaires au Japon et assigné à résidence à Tokyo, a décidé, mercredi 17 juillet 2019 tard dans la soirée, de porter plainte contre Nissan et Mitsubishi.
Carlos Ghosn accuse les deux constructeurs de "rupture abusive" de contrat de travail en tant que salarié.
Alors qu'il avait choisi de démissionner de son poste de Pdg de Renault et de Nissan (Renault-Nissan BV) en janvier 2019, il avait été "remercié" par le conseil d'administration de NMVB, filiale commune de Nissan et de Mitsubishi, en mars 2019. Le même jour, avait été annoncé sa dissolution. L'assignation s'effectue auprès de la justice néerlandaise où se trouve le siège de NMVB.
Les deux constructeurs japonais plaident que le contrat de Carlos Ghosn n'est pas valide, car il n'a pas "été soumis au conseil d'administration de NMVB", indique Le Figaro. Ils pourraient d'ailleurs lui réclamer les 7,82 M€ perçus durant ses fonctions entre avril et novembre 2018.
De son côté, pour la "rupture abusive" de contrat, l'homme d'affaires français réclamerait quelque 15 M€, selon une information du même quotidien français.
Les dirigeants actuels de Renault ont eux détecté 11 M€ de "dépenses suspectes" au sein de RNBV, filiale commune entre Renault et Nissan, également basée aux Pays-Bas. Ils devraient également porter plainte.
Carlos Ghosn accuse les deux constructeurs de "rupture abusive" de contrat de travail en tant que salarié.
Alors qu'il avait choisi de démissionner de son poste de Pdg de Renault et de Nissan (Renault-Nissan BV) en janvier 2019, il avait été "remercié" par le conseil d'administration de NMVB, filiale commune de Nissan et de Mitsubishi, en mars 2019. Le même jour, avait été annoncé sa dissolution. L'assignation s'effectue auprès de la justice néerlandaise où se trouve le siège de NMVB.
Les deux constructeurs japonais plaident que le contrat de Carlos Ghosn n'est pas valide, car il n'a pas "été soumis au conseil d'administration de NMVB", indique Le Figaro. Ils pourraient d'ailleurs lui réclamer les 7,82 M€ perçus durant ses fonctions entre avril et novembre 2018.
De son côté, pour la "rupture abusive" de contrat, l'homme d'affaires français réclamerait quelque 15 M€, selon une information du même quotidien français.
Les dirigeants actuels de Renault ont eux détecté 11 M€ de "dépenses suspectes" au sein de RNBV, filiale commune entre Renault et Nissan, également basée aux Pays-Bas. Ils devraient également porter plainte.