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ESPAGNE. A dix heures du matin, lundi 16 octobre 2017, l'ultimatum émis par Madrid devait tomber. Le gouvernement espagnol exigeait que Carles Puigdemont confirme qu'il avait bien déclaré l'indépendance de la Catalogne. Le président de la Generalitat s'est contenté, lundi 16 octobre 2017, un peu plus d'une heure avant la fin du délai imposé, d'envoyer un courrier à Mariano Rajoy lui indiquant que "pendant les deux prochains mois, notre principal objectif est de vous amener au dialogue."
Une deuxième main tendue après la suspension de la déclaration d'indépendance mardi 10 octobre 2017. Pour le même résultat. Le gouvernement espagnol ne semble pas avoir apprécié cette lettre en provenance de Barcelone. Alfonso Dastis, ministre espagnol des Affaires étrangères, a indiqué que le courrier n'apportait pas "la clarté qu'on lui demandait" et Soraya Saenz, vice-présidente du gouvernement, a renchérit : "sur un sujet aussi important que celui-ci, nous avons demandé et nous demandons de la clarté."
L'accusé de réception ressemble donc à un retour à l'envoyeur et Madrid laisse désormais jusqu'à jeudi 19 octobre 2017 à Carles Puigdemont pour qu'il dise oui ou non s'il a déclaré l'indépendance de la Catalogne.
Une deuxième main tendue après la suspension de la déclaration d'indépendance mardi 10 octobre 2017. Pour le même résultat. Le gouvernement espagnol ne semble pas avoir apprécié cette lettre en provenance de Barcelone. Alfonso Dastis, ministre espagnol des Affaires étrangères, a indiqué que le courrier n'apportait pas "la clarté qu'on lui demandait" et Soraya Saenz, vice-présidente du gouvernement, a renchérit : "sur un sujet aussi important que celui-ci, nous avons demandé et nous demandons de la clarté."
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