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EUROPE. Lors d'une intervention à Bruxelles auprès d'experts, Annette Schneegans, de la direction générale Agriculture et développement durable de la Commission européenne, les a incités à "solliciter des subventions pouvant se monter à 7 M€ pour réaliser des travaux de recherche qui permettraient d'accroître les connaissances" sur la Xylella fastidiosa.
Après s'être développée en Italie, cette bactérie tueuse de plantes est arrivée durant l'été 2015 en Corse puis en octobre 2015 à Nice.
« Parmi les thèmes récurrents des différentes réunions, on retrouvait non seulement l'urgence de lancer de nouvelles activités de recherche, mais aussi la nécessité de mettre en place une coopération globale regroupant divers acteurs pour lutter contre Xylella. Grâce à cette nouvelle source de financement octroyée par la Commission européenne, nous espérons faire des progrès importants ensemble au cours des mois et des années à venir » souligne Franck Berthe, chef de l'unité en charge de la santé animale et végétale de l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments).
La Commission européenne a lancé en octobre 2015 un appel à contributions sur Xylella fastidiosa dans le cadre du programme Horizon 2020. Bruxelles attend "toutes les propositions d'activité permettant d'améliorer la recherche portant sur la prévention, la détection et la lutte contre X.fastidiosa.... Les propositions soumises devraient également permettre de renforcer les connaissances relatives à la biologie de X.fastidiosa et de ses vecteurs, à l'interaction hôte/vecteur/pathogène, et à l'épidémiologie". Les réponses doivent intervenir avant le 17 février 2016.
Lire aussi : Menaces de mort sur les oliviers en Méditerranée
Après s'être développée en Italie, cette bactérie tueuse de plantes est arrivée durant l'été 2015 en Corse puis en octobre 2015 à Nice.
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La Commission européenne a lancé en octobre 2015 un appel à contributions sur Xylella fastidiosa dans le cadre du programme Horizon 2020. Bruxelles attend "toutes les propositions d'activité permettant d'améliorer la recherche portant sur la prévention, la détection et la lutte contre X.fastidiosa.... Les propositions soumises devraient également permettre de renforcer les connaissances relatives à la biologie de X.fastidiosa et de ses vecteurs, à l'interaction hôte/vecteur/pathogène, et à l'épidémiologie". Les réponses doivent intervenir avant le 17 février 2016.
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