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ALBANIE / BOSNIE-HERZÉGOVINE. Les députés européens de la commission des Affaires étrangères demandent à l'Albanie de "mettre en oeuvre de façon crédible les réformes nécessaires et s'assurer que les élections parlementaires de juin seront libres et équitables". Cette proposition de résolution, non contraignante, doit encore être approuvée par le Parlement européen au cours du mois de février 2017.
S'ils saluent les réformes déjà engagées dans le cadre de la demande d'adhésion à l'Union européenne du pays (avril 2009), notamment celle du système judiciaire (exclusion des auteurs d'infractions pénales des fonctions publiques et réévaluation des juges et procureurs), les eurodéputés dénoncent encore "la justice sélective, la corruption, la durée globale des procédures judiciaires et l'ingérence politique dans les enquêtes et les affaires judiciaires".
Les députés s'intéressent aussi, dans une proposition de résolution distincte, aux avancées en Bosnie-Herzégovine, candidate à l'entrée dans l'Union européenne depuis février 2016. Bruxelles "exhorte la Bosnie-Herzégovine à dépasser ses divisions ethniques et politiques et à rester unie tout au long du processus d'évaluation de la demande d'adhésion". Et invite ses dirigeants à "se concentrer sur les réformes et éviter les sujets conflictuels qui pourraient ralentir son parcours sur la voie de l'UE". Les eurodéputés se disent inquiets concernant la "fragmentation et la politisation de l'administration publique.... (elles) entravent les réformes et rendent le service public fastidieux". Selon eux, “une administration publique professionnelle, efficace et axée sur le mérite est le fondement du processus d'intégration de tout pays aspirant à adhérer à l'Union européenne’’.
L'Albanie et la Bosnie-Herzégovine font actuellement partie des six candidats officiels à l'adhésion à l'Union européenne avec la Turquie, la République de Macédoine (Arym), le Monténégro et la Serbie.
S'ils saluent les réformes déjà engagées dans le cadre de la demande d'adhésion à l'Union européenne du pays (avril 2009), notamment celle du système judiciaire (exclusion des auteurs d'infractions pénales des fonctions publiques et réévaluation des juges et procureurs), les eurodéputés dénoncent encore "la justice sélective, la corruption, la durée globale des procédures judiciaires et l'ingérence politique dans les enquêtes et les affaires judiciaires".
Les députés s'intéressent aussi, dans une proposition de résolution distincte, aux avancées en Bosnie-Herzégovine, candidate à l'entrée dans l'Union européenne depuis février 2016. Bruxelles "exhorte la Bosnie-Herzégovine à dépasser ses divisions ethniques et politiques et à rester unie tout au long du processus d'évaluation de la demande d'adhésion". Et invite ses dirigeants à "se concentrer sur les réformes et éviter les sujets conflictuels qui pourraient ralentir son parcours sur la voie de l'UE". Les eurodéputés se disent inquiets concernant la "fragmentation et la politisation de l'administration publique.... (elles) entravent les réformes et rendent le service public fastidieux". Selon eux, “une administration publique professionnelle, efficace et axée sur le mérite est le fondement du processus d'intégration de tout pays aspirant à adhérer à l'Union européenne’’.
L'Albanie et la Bosnie-Herzégovine font actuellement partie des six candidats officiels à l'adhésion à l'Union européenne avec la Turquie, la République de Macédoine (Arym), le Monténégro et la Serbie.