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FRANCE. Le Conseil ITER a désigné, jeudi 20 novembre 2014, le Français Bernard Bigot pour succéder au Japonais Osamu Motojima au poste de directeur général d'ITER Organization.
Administrateur général du Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), Bernard Bigot est aussi le Haut représentant pour ITER en France. Il prendra ses fonctions en janvier 2015 pour une durée de cinq ans.
Âgé de soixante-trois ans, cet universitaire est un expert technique dans le domaine du nucléaire. Issu de l'École normale supérieure de Saint-Cloud et des Universités d'Orsay et de Paris VI-Pierre et Marie Curie, Bernard Bigot est agrégé de chimie sciences physiques et docteur ès sciences en physique et chimie.
Administrateur général du Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), Bernard Bigot est aussi le Haut représentant pour ITER en France. Il prendra ses fonctions en janvier 2015 pour une durée de cinq ans.
Âgé de soixante-trois ans, cet universitaire est un expert technique dans le domaine du nucléaire. Issu de l'École normale supérieure de Saint-Cloud et des Universités d'Orsay et de Paris VI-Pierre et Marie Curie, Bernard Bigot est agrégé de chimie sciences physiques et docteur ès sciences en physique et chimie.
"Conçu pour démontrer la faisabilité scientifique et technologique de l’énergie de fusion, ITER sera la plus grande installation expérimentale de fusion jamais construite. La fusion est à l’origine de l’énergie du soleil et des étoiles : quand des noyaux d’atomes légers fusionnent pour former des noyaux plus lourds, une grande quantité d’énergie est libérée. La recherche sur la fusion vise à maîtriser une source d’énergie à la fois sûre, fiable et respectueuse de l’environnement" précise le communiqué publié par ITER.
Chine, Inde, Japon, République de Corée, Fédération de Russie, États-Unis, à 50% l' Europe participent au financement de la construction de ce super-réacteur en chantier à Saint-Paul-lez-Durance en France dans le département des Bouches-du-Rhône.
Chine, Inde, Japon, République de Corée, Fédération de Russie, États-Unis, à 50% l' Europe participent au financement de la construction de ce super-réacteur en chantier à Saint-Paul-lez-Durance en France dans le département des Bouches-du-Rhône.