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ISRAËL. Mis en examen pour "corruption", "malversations"' et "abus de confiance" fin novembre 2019, Benyamin Netanyahou a annoncé, mercredi 1er janvier 2020 dans la soirée, qu'il allait demander l'immunité parlementaire au Parlement israélien.
Le premier ministre israélien avait trente jours pour le faire, il a donc attendu le dernier moment pour cette manoeuvre qui lui permet de bénéficier d'un long répit avant que ne s'ouvre son procès.
La Knesset, le parlement israélien, du fait de sa dissolution en décembre 2019 en attendant le prochain scrutin, ne pourra pas réunir son comité spécial en charge d'étudier les demandes d'immunité parlementaire. Sans gouvernement depuis avril 2019, Israël va devoir attendre les législatives de mars 2020 pour connaître le nom de son prochain premier ministre. Le sortant, Benyamin Netanyahou, pourrait donc - alors que son parti le Likoud vient de le désigner à plus de 72% comme son candidat - briguer un nouveau mandat lui permettant de continuer à bénéficier de cette immunité. Et donc retarder encore plus son passage devant les juges.
Le premier ministre israélien avait trente jours pour le faire, il a donc attendu le dernier moment pour cette manoeuvre qui lui permet de bénéficier d'un long répit avant que ne s'ouvre son procès.
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