
Benjamin Netanyahu loue les avantages de sa barrière électronique (photo : gouvernement israélien)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
ISRAËL. Mardi 20 mars 2018, lors de la 8e conférence sur le Negev, consacrée au développement de la région Sud d'Israël, Benjamin Netanyahu a dérapé en évoquant l'efficacité d'une barrière électronique implantée entre l'Égypte et Israël.
"Sans cette barrière, nous serions confrontés à de graves attaques de terroristes du Sinaï, et, pire, à une arrivée massive de migrants africains illégaux", indiquait le premier ministre israélien. Le ministère israélien de l'Intérieur estime à 42 000 les migrants principalement d'origine soudanaise ou érythréenne présents sur son sol depuis 2007.
"Nous parlons d'un Etat juif et démocratique mais comment assurer qu'il reste juif avec 50 000 ou 100 000 migrants par an ?" renchérit Benjamin Netanyahu précisant "un million, un million et demi et on peut fermer la baraque (...) au lieu de fermer la baraque, on a installé une barrière et, en même temps, dans un souci de sécurité, nous investissons massivement dans les infrastructures."
Opérationnelle depuis 2014, cette barrière électronique de 242 km de long (de la pointe sud de la bande de Gaza à la ville d'Eilat) a pour vocation de bloquer l'immigration clandestine, les trafics de drogue et d'armes et les infiltrations de terroristes.
Lire le discours prononcé lors de la 8e conférence sur le Negev (en Hébreu)
Lire un extrait du discours prononcé lors de la 8e conférence sur le Negev (en Arabe)
Lire un extrait du discours prononcé lors de la 8e conférence sur le Negev (en Anglais)
"Sans cette barrière, nous serions confrontés à de graves attaques de terroristes du Sinaï, et, pire, à une arrivée massive de migrants africains illégaux", indiquait le premier ministre israélien. Le ministère israélien de l'Intérieur estime à 42 000 les migrants principalement d'origine soudanaise ou érythréenne présents sur son sol depuis 2007.
"Nous parlons d'un Etat juif et démocratique mais comment assurer qu'il reste juif avec 50 000 ou 100 000 migrants par an ?" renchérit Benjamin Netanyahu précisant "un million, un million et demi et on peut fermer la baraque (...) au lieu de fermer la baraque, on a installé une barrière et, en même temps, dans un souci de sécurité, nous investissons massivement dans les infrastructures."
Opérationnelle depuis 2014, cette barrière électronique de 242 km de long (de la pointe sud de la bande de Gaza à la ville d'Eilat) a pour vocation de bloquer l'immigration clandestine, les trafics de drogue et d'armes et les infiltrations de terroristes.
Lire le discours prononcé lors de la 8e conférence sur le Negev (en Hébreu)
Lire un extrait du discours prononcé lors de la 8e conférence sur le Negev (en Arabe)
Lire un extrait du discours prononcé lors de la 8e conférence sur le Negev (en Anglais)