>>> En savoir plus

Balis cible en priorité le secteur du tourisme. Photo Balis.
Voir aussi
-
Décès de Benedict de Saint-Laurent, ancien délégué d'Anima Investment Network
-
Air France-KLM et CMA CGM vont partager leurs capacités de fret aérien
-
Pierre Loaëc prend la tête du bureau régional de Marseille de la Commission européenne
-
La Villa Méditerranée passe la main à Cosquer Méditerranée
-
Aroma-Zone s'implante à Marseille et prépare son internationalisation
L'idée de départ est très simple. Concevoir un système permettant à une vitrine, un musée, un restaurant, un stand présent dans un salon, de communiquer directement avec les smartphones des passants. Le tout sans application, avec un simple lecteur générique sur iOS (système d'exploitation mobile).
Gérant et créateur de Balis, Laurent Sbeghen a travaillé dix-huit ans dans une entreprise de développement informatique avant de décider de voler de ses propres ailes. En 2016, il crée Balis, dont le siège est à Port-de-Bouc et les locaux à Marseille, dans la pépinière de Marseille Innovation.
Son agence de communication et de marketing commercialise des balises Bluetooth d'une portée de soixante à soixante-dix mètres. Quand un promeneur - dont le smartphone dispose de la fonction Bluetooth activée - passe, la balise lui délivre des informations. Il peut s'agir d'une promotion, d'explications historiques sur un lieu touristique, de caractéristiques techniques d'un produit, d'un menu de restaurant...
« Nous utilisons un protocole open source qui vient de Google », explique Laurent Sbeghen. « Tous les utilisateurs d'Android ou de Google Chrome recevront les messages. »
Gérant et créateur de Balis, Laurent Sbeghen a travaillé dix-huit ans dans une entreprise de développement informatique avant de décider de voler de ses propres ailes. En 2016, il crée Balis, dont le siège est à Port-de-Bouc et les locaux à Marseille, dans la pépinière de Marseille Innovation.
Son agence de communication et de marketing commercialise des balises Bluetooth d'une portée de soixante à soixante-dix mètres. Quand un promeneur - dont le smartphone dispose de la fonction Bluetooth activée - passe, la balise lui délivre des informations. Il peut s'agir d'une promotion, d'explications historiques sur un lieu touristique, de caractéristiques techniques d'un produit, d'un menu de restaurant...
« Nous utilisons un protocole open source qui vient de Google », explique Laurent Sbeghen. « Tous les utilisateurs d'Android ou de Google Chrome recevront les messages. »
Facille d'utilisation et peu honéreux

Il suffit d'avoir sa fonction Bluetooth activée pour recevoir les messages. Photo Balis.
Balis propose à ses clients de s'abonner à une plate-forme leur permettant de créer du contenu. Laurent Sbeghen situe sa « web application entre l'application et le site web. Le coût de cet abonnement (à partir d'une trentaine d'euros par mois) dépend du nombre de balises et de la gamme de services désirée par le client. »
L'entreprise mise sur la richesse du contenu délivré, la simplicité d’utilisation et le faible coût de sa solution pour séduire ses clients. « Nous commençons depuis septembre à commercialiser notre produit », précise son fondateur. « Nous ciblons en priorité les secteurs de l'événementiel, des salons professionnels et du tourisme. »
Pour sa première année d’existence, en pleine phase de R&D, Balis a réalisé un chiffre d'affaires de 40 000 €. La start-up monte actuellement des dossiers de financement auprès de la région PACA et de la BPI ( Banque Publique d'Investissement). « Nous commençons par prospecter en PACA, puis nous élargirons notre territoire », annonce Laurent Sbeghen.
L'entreprise mise sur la richesse du contenu délivré, la simplicité d’utilisation et le faible coût de sa solution pour séduire ses clients. « Nous commençons depuis septembre à commercialiser notre produit », précise son fondateur. « Nous ciblons en priorité les secteurs de l'événementiel, des salons professionnels et du tourisme. »
Pour sa première année d’existence, en pleine phase de R&D, Balis a réalisé un chiffre d'affaires de 40 000 €. La start-up monte actuellement des dossiers de financement auprès de la région PACA et de la BPI ( Banque Publique d'Investissement). « Nous commençons par prospecter en PACA, puis nous élargirons notre territoire », annonce Laurent Sbeghen.