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SYRIE. "Notre impression est que l'Occident, principalement les Etats-Unis, est complice des terroristes et qu'il a monté toute cette histoire pour servir de prétexte." Pour Bachar al-Assad, l'attaque aux armes chimiques de la ville de Khan Cheikhoun dont l'accuse plusieurs gouvernements, n'a jamais existé. Selon le président syrien, qui affirme ne plus disposer d'armes chimiques volontairement depuis 2013, cette attaque a été "fabriqué à 100%" pour couvrir les frappes aériennes américaines contre une base aérienne menées en représailles. Les missiles chargés de gaz sarin avait fait, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), quatre-vingt sept morts dont trente-et-un enfants à Khan Cheikhoun.
Alors qu'il réclame, avec ses alliés russes, une enquête internationale ("à condition qu'elle soit impartiale"), Bachar al-Assad riposte par le biais de son commandement général de l'armée et des forces armées. Ce dernier, dans un communiqué adressé à l'Agence syrienne de presse (Sana), indique, jeudi 13 avril 2017, qu'un "raid mené par les avions de combat de la soi-disant "coalition internationale", conduite par les Etats-Unis, sur un dépôt des terroristes de Daech qui inclut des substances toxiques" aurait fait des centaines de morts dont un grand nombre de civils. Le bombardement aurait eu lieu mercredi 12 avril 2017 entre 17h30 et 17h50 dans le village de Hathla, dans le banlieue Est de Deir Ezzor.
Une attaque aérienne dans cette région a bien été confirmée par l'OSDH qui indique ne disposer d'aucune indication quant aux victimes éventuelles.
Alors qu'il réclame, avec ses alliés russes, une enquête internationale ("à condition qu'elle soit impartiale"), Bachar al-Assad riposte par le biais de son commandement général de l'armée et des forces armées. Ce dernier, dans un communiqué adressé à l'Agence syrienne de presse (Sana), indique, jeudi 13 avril 2017, qu'un "raid mené par les avions de combat de la soi-disant "coalition internationale", conduite par les Etats-Unis, sur un dépôt des terroristes de Daech qui inclut des substances toxiques" aurait fait des centaines de morts dont un grand nombre de civils. Le bombardement aurait eu lieu mercredi 12 avril 2017 entre 17h30 et 17h50 dans le village de Hathla, dans le banlieue Est de Deir Ezzor.
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