
Bachar al-Assad affirme bénéficier du soutien populaire (photo : C.Garcia)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
SYRIE. Dans une interview accordée a plusieurs médias français (France Info, RTL et LCP) dimanche 8 janvier 2017, Bachar al-Assad a affirmé vouloir libérer "chaque centimètre carré du territoire" de son pays et parle de "mission constitutionnelle". Le président syrien assure disposer du "soutien populaire" et réfute les accusations de crimes contre sa population : "Si nous avions fait des choses pareilles, nous n'aurions pas eu de soutien, je ne serais plus président, le gouvernement ne serait plus là. Nous avons pu résister durant toute la guerre parce que nous avons le soutien populaire. Et vous ne pouvez pas avoir le soutien populaire, si vous tuez vos propres citoyens. Donc toute cette histoire ne tient pas debout."
Il s'attaquera à tous ces adversaires qu'il met dans le même panier. "Nous avons la légitimité pour libérer n'importe quelle zone contrôlée par les terroristes, quel que soit le nom qu'ils se donnent. Qu'ils s'appellent État islamique, qu'ils s'appellent Al Nosra, qu'ils se disent modérés ou bien Casques blancs (sauveteurs civils, ndlr), nous n'avons rien à faire des noms", affirme-t-il.
Selon Bachar al-Assad, la victoire est proche. Le conflit a débuté en mars 2011 dans la foulée des printemps arabes d'abord pacifiquement avant de dégénérer et de voir des groupes islamistes prendre part aux combats. La guerre a causé 310 000 morts. Des négociations de paix devraient se tenir fin janvier 2017 à Astana au Kazakhstan. Le président syrien se dit prêt à "tout négocier".
Il s'attaquera à tous ces adversaires qu'il met dans le même panier. "Nous avons la légitimité pour libérer n'importe quelle zone contrôlée par les terroristes, quel que soit le nom qu'ils se donnent. Qu'ils s'appellent État islamique, qu'ils s'appellent Al Nosra, qu'ils se disent modérés ou bien Casques blancs (sauveteurs civils, ndlr), nous n'avons rien à faire des noms", affirme-t-il.
Selon Bachar al-Assad, la victoire est proche. Le conflit a débuté en mars 2011 dans la foulée des printemps arabes d'abord pacifiquement avant de dégénérer et de voir des groupes islamistes prendre part aux combats. La guerre a causé 310 000 morts. Des négociations de paix devraient se tenir fin janvier 2017 à Astana au Kazakhstan. Le président syrien se dit prêt à "tout négocier".