
La question d'inclure Bachar al-Assad ou non dans le règlement de la crise syrienne divise François Hollande et Angela Merkel (photo C.G.)
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SYRIE. Alors que François Hollande a plaidé à nouveau, jeudi 24 septembre 2015 à Bruxelles lors du sommet européen sur les réfugiés, pour l'organisation d'une nouvelle conférence de l'Onu sur la Syrie, Angela Merkel et le président de la République française ne semblent plus être sur la même longueur d'onde.
La chancelière allemande a indiqué à l'issue de la même conférence que, pour résoudre le conflit syrien, "il faut parler avec de nombreux acteurs, et cela implique Assad, mais il y en a d'autres." Angela Merkel nomme les États-Unis, la Russie, mais aussi l'Iran et l'Arabie saoudite.
Cette déclaration va à l'encontre de la position de François Hollande pour qui "l'avenir de la Syrie ne peut pas passer par Bachar al-Assad... Il ne peut y avoir de transition réussie qu'avec son départ" comme il l'a réitéré jeudi 24 septembre 2015.
La déclaration finale du sommet européen sur les réfugiés, réunissant les vingt huit chefs d'État européens, évoque la nécessité d' "un nouvel effort international dirigé par l'Onu pour mettre un terme à la guerre qui a causé tant de souffrances et forcé environ douze millions de personnes à quitter leurs foyers." D'autre part, l'UE s'engage à "prendre toute sa part dans ce but, ainsi que pour la formation d'un gouvernement d'union nationale en Libye."
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