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SYRIE. Dans un entretien accordé à deux médias français (Europe 1 et TF1), jeudi 16 janvier 2017 à Damas, Bachar al-Assad assure que l'"on ne peut pas parler d'avoir gagné la guerre avant d'avoir battu les terroristes partout en Syrie... Je pense que ce sera un long chemin." Le président syrien répondait à une question sur la reprise, capitale pour l'issue du conflit, de la ville d'Alep voici deux mois.
Le président syrien réfute également les accusations de tortures dévoilées par Amnesty International dans la prison de Saydnaya (nord de Damas) : "ce rapport est bâti sur des allégations ! Pas un seul document, pas une seule preuve...Nous avons toutes les informations qu'il nous faut, donc nous ne recourons pas à la torture. Ca ne fait pas partie de notre politique." L'ONG évoque de 5 000 à 13 000 détenus pendus en quatre ans dans ce lieu de détention.
Sur les négociations internationales concernant le conflit en Syrie, Bachar al-Assad parle d'"isolement des pays occidentaux" à cause de leur aide aux "groupes représentant le terrorisme contre le gouvernement." Il accuse ainsi la France de "soutenir les terroristes en Syrie" depuis les premiers jours et d'être "directement responsable des tueries dans notre pays." Le président syrien indique également qu'un des parlementaires français qu'il a reçu était un agent des services de renseignement français.
Sur l'avenir politique de la Syrie, Bachar al-Assad se veut confiant. "A la fin de la guerre, nous pouvons envisager toutes sortes de solutions, les urnes, les élections, tout est possible. D'ici là, le peuple n'a qu'un seul moyen de se prononcer : ou bien soutenir ou bien ne pas le faire. Après six ans de guerre, si ce président a un mauvais bilan auprès du peuple syrien, pourquoi le soutiendrait-il ? C'est une simple question. Pourquoi ne soutient-il pas les terroristes ?"
Le président syrien réfute également les accusations de tortures dévoilées par Amnesty International dans la prison de Saydnaya (nord de Damas) : "ce rapport est bâti sur des allégations ! Pas un seul document, pas une seule preuve...Nous avons toutes les informations qu'il nous faut, donc nous ne recourons pas à la torture. Ca ne fait pas partie de notre politique." L'ONG évoque de 5 000 à 13 000 détenus pendus en quatre ans dans ce lieu de détention.
Sur les négociations internationales concernant le conflit en Syrie, Bachar al-Assad parle d'"isolement des pays occidentaux" à cause de leur aide aux "groupes représentant le terrorisme contre le gouvernement." Il accuse ainsi la France de "soutenir les terroristes en Syrie" depuis les premiers jours et d'être "directement responsable des tueries dans notre pays." Le président syrien indique également qu'un des parlementaires français qu'il a reçu était un agent des services de renseignement français.
Sur l'avenir politique de la Syrie, Bachar al-Assad se veut confiant. "A la fin de la guerre, nous pouvons envisager toutes sortes de solutions, les urnes, les élections, tout est possible. D'ici là, le peuple n'a qu'un seul moyen de se prononcer : ou bien soutenir ou bien ne pas le faire. Après six ans de guerre, si ce président a un mauvais bilan auprès du peuple syrien, pourquoi le soutiendrait-il ? C'est une simple question. Pourquoi ne soutient-il pas les terroristes ?"