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MONDE. Un pacte en demi-teinte se dessine au secours de la planète suite aux négociations sur le climat, dimanche 11 décembre 2011, à Durban en Afrique du Sud.
Pour la première fois, une feuille de route, le Pacte de Durban, établit un accord en 2015 dans la lutte contre le réchauffement climatique, à l'issue de quatorze journées de discussions chevronnées.
190 pays s'accordent ainsi sur un jeu de quatre textes confortant l'entente multilatéral et ouvrant la voie à un accord global. Les engagements des pays industriels lors du sommet de Kyoto expirent en 2012, ils seront alors prorogés dans l'attente d'un nouveau traité pendant au moins cinq ans à compter du 1er janvier 2013.
Petits bémols cependant. L'Union européenne, qui espérait aboutir à un accord juridiquement contraignant, a dû se contenter d'un texte n'obligeant pas les pays à respecter leurs objectifs. Certains des pays émergents ont tout de même pris l'engagement de limiter la croissance de leurs émissions de gaz à effet de serre.
Ce pacte climatique ne s'accompagne pas non plus de promesses des pays de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères Bernard Valero appuie l'idée que la France, avec l'Union européenne, continuera à assumer toutes ses responsabilités et à rester force de proposition principale contre le changement climatique.
Pour la première fois, une feuille de route, le Pacte de Durban, établit un accord en 2015 dans la lutte contre le réchauffement climatique, à l'issue de quatorze journées de discussions chevronnées.
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Petits bémols cependant. L'Union européenne, qui espérait aboutir à un accord juridiquement contraignant, a dû se contenter d'un texte n'obligeant pas les pays à respecter leurs objectifs. Certains des pays émergents ont tout de même pris l'engagement de limiter la croissance de leurs émissions de gaz à effet de serre.
Ce pacte climatique ne s'accompagne pas non plus de promesses des pays de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères Bernard Valero appuie l'idée que la France, avec l'Union européenne, continuera à assumer toutes ses responsabilités et à rester force de proposition principale contre le changement climatique.