
Athènes doit donner des gages à Bruxelles (photo F.Dubessy)
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GRECE. Alors que la Commission européenne a annoncé, vendredi 20 mars 2015, mettre 2 mrds€ de fonds européens non utilisés pour l'année 2015 à la disposition du nouveau gouvernement grec, Athènes paye ses dettes.
Le pays vient de rembourser une nouvelle tranche de 348,5 M€ au Fonds monétaire international (FMI) sur un emprunt total de 2,5 mrds€. Parallèlement, le PDMA, agence grecque gérant la dette, a versé 1,6 mrd€ de bons du Trésor arrivant à échéance. En ajoutant d'autres remboursements tous également effectués vendredi 20 mars 2015, et notamment des intérêts sur des obligations détenues par la Banque centrale européenne (BCE), la Grèce aurait sorti de son portefeuille ce jour quelque 2,5 mrds€.
A noter que les 2 mrds€ promis, provenant de fonds européens non utilisés, ne pourront en aucun cas venir "renflouer les caisses de l'Etat grec" comme a tenu à le préciser Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne. Cette enveloppe servira à "renforcer les efforts en faveur de la croissance et de la cohésion sociale .... en réponse au problème massif du chômage des jeunes."
Les créanciers de la Grèce se refusent toujours à lever leur suspension sur le versement d'un paquet de 7,2 mrds€ qui aurait dû être libéré en août 2014. Ils attendent pour délier les cordons de la bourse que le nouveau gouvernement d'Alexis Tsipras s'engage concrètement sur des réformes et en dresse une liste précise.
Le pays vient de rembourser une nouvelle tranche de 348,5 M€ au Fonds monétaire international (FMI) sur un emprunt total de 2,5 mrds€. Parallèlement, le PDMA, agence grecque gérant la dette, a versé 1,6 mrd€ de bons du Trésor arrivant à échéance. En ajoutant d'autres remboursements tous également effectués vendredi 20 mars 2015, et notamment des intérêts sur des obligations détenues par la Banque centrale européenne (BCE), la Grèce aurait sorti de son portefeuille ce jour quelque 2,5 mrds€.
A noter que les 2 mrds€ promis, provenant de fonds européens non utilisés, ne pourront en aucun cas venir "renflouer les caisses de l'Etat grec" comme a tenu à le préciser Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne. Cette enveloppe servira à "renforcer les efforts en faveur de la croissance et de la cohésion sociale .... en réponse au problème massif du chômage des jeunes."
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