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MAROC. Vendredi 22 août 2014, le ministère marocain de l’Équipement et des Transports a lancé l’appel d’offres pour la construction d’un terminal de croisière au port de Casablanca pour un investissement de 430 millions de dirhams (38,5 M€). D’ici deux ans, il pourra accueillir 350 000 croisiéristes. Une convention avait été signée, voici presque cinq mois, entre l’État et le Fonds marocain pour le développement touristique, pour financer le projet.
Le port de Casablanca, premier port commercial du Maroc, est également le premier port de croisière du pays. En 2012, près de 300 000 croisiéristes ont accosté à Casablanca, soit une hausse de près de 20% par rapport à l’année précédente. L’aménagement du port spécifique aux croisières doit permettre de concrétiser le potentiel géographique de la ville : à huit heures de navigation du détroit de Gibraltar et à une journée de navigation des îles Canaries et des îles Madère, elle s’insère avantageusement dans les itinéraires tant méditerranéens qu’atlantiques.
Le deuxième intérêt de la ville demeure son offre touristique. Casablanca, qui porte un nom propice à stimuler l’imaginaire touristique (grâce notamment au film éponyme Casablanca de Michael Curtiz), peut faire valoir certains sites de son patrimoine urbain, ainsi qu’une offre commerciale importante, favorable au tourisme de shopping et au commerce de l’artisanat.
En outre, la capitale économique étant la ville la mieux desservie du Maroc, elle donne accès, dans le cadre d’excursions journalières ou "overnight" à d’autres grandes destinations touristiques de l’arrière-pays et du littoral voisin, comme Rabat et Marrakech.
Enfin, le troisième et principal atout de la ville réside dans les infrastructures et les capacités logistiques du site portuaire La ville commence à tirer des bénéfices importants de l’activité de croisière et de la massification des flux touristiques qu’elle engendre : un croisiériste débarquant à Casablanca dépense en moyenne 120 $ (91€) par jour en shopping, ce qui correspond à environ deux fois la somme qu’un touriste dépense à Marrakech, hors hébergement.
Le port de Casablanca, premier port commercial du Maroc, est également le premier port de croisière du pays. En 2012, près de 300 000 croisiéristes ont accosté à Casablanca, soit une hausse de près de 20% par rapport à l’année précédente. L’aménagement du port spécifique aux croisières doit permettre de concrétiser le potentiel géographique de la ville : à huit heures de navigation du détroit de Gibraltar et à une journée de navigation des îles Canaries et des îles Madère, elle s’insère avantageusement dans les itinéraires tant méditerranéens qu’atlantiques.
Le deuxième intérêt de la ville demeure son offre touristique. Casablanca, qui porte un nom propice à stimuler l’imaginaire touristique (grâce notamment au film éponyme Casablanca de Michael Curtiz), peut faire valoir certains sites de son patrimoine urbain, ainsi qu’une offre commerciale importante, favorable au tourisme de shopping et au commerce de l’artisanat.
En outre, la capitale économique étant la ville la mieux desservie du Maroc, elle donne accès, dans le cadre d’excursions journalières ou "overnight" à d’autres grandes destinations touristiques de l’arrière-pays et du littoral voisin, comme Rabat et Marrakech.
Enfin, le troisième et principal atout de la ville réside dans les infrastructures et les capacités logistiques du site portuaire La ville commence à tirer des bénéfices importants de l’activité de croisière et de la massification des flux touristiques qu’elle engendre : un croisiériste débarquant à Casablanca dépense en moyenne 120 $ (91€) par jour en shopping, ce qui correspond à environ deux fois la somme qu’un touriste dépense à Marrakech, hors hébergement.