Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
L'Autorité palestinienne demande à ses ressortissants de ne pas voyager à partir des aéroports israéliens.
-
Le Liban va importer du gaz d’Égypte pour alimenter ses centrales électriques
-
La Jordanie veut attirer 41 mrds$ d'investissements privés en dix ans
JORDANIE. La décharge de Ghabawi à Amman compte une nouvelle cellule, sa cinquième. Débutés en septembre 2017, les travaux ont été financés par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) et le Departement for international Development britannique (DFID) par, respectivement, un prêt de 3,25 millions de dinars jordaniens (4 M€) et un don de 4,25 M£ (3,9 millions de dinars jordaniens - 4,8 M€).
Construit et géré par la municipalité du Grand Amman (GAM), ce site est le principal lieu de stockage des déchets solides de la capitale jordanienne qui compte cinq millions d'habitants après l'arrivée massive de réfugiés syriens. Grâce à cette extension de 11% de la capacité de dépôt, livrée en octobre 2018, et son revêtement anti-fuite, la décharge de Ghabawi va pouvoir recevoir plus de quantités de déchets. Selon la GAM, elle est susceptible d'accueillir neuf cellules en tout, soit une capacité de traitement des déchets de la ville jusqu'en 2027.
Pour Edward Oakden, ambassadeur britannique en Jordanie, "la communauté internationale doit soutenir la résilience et la stabilité de la Jordanie, qui accueille généreusement un grand nombre de réfugiés. Les améliorations des infrastructures critiques telles que celle-ci permettent de garantir que les communautés jordaniennes continuent à recevoir les services essentiels tels que la gestion des eaux usées et solides.”
En février 2016, la Berd avait déjà participé au financement de la mise à niveau de la décharge de Ghabawi. La banque avait accordé un prêt de 11,8 M€ couvrant notamment l'installation d'un dispositif de production d’énergie à base de déchets permettant également d’alimenter le réseau national d'électricité.
Construit et géré par la municipalité du Grand Amman (GAM), ce site est le principal lieu de stockage des déchets solides de la capitale jordanienne qui compte cinq millions d'habitants après l'arrivée massive de réfugiés syriens. Grâce à cette extension de 11% de la capacité de dépôt, livrée en octobre 2018, et son revêtement anti-fuite, la décharge de Ghabawi va pouvoir recevoir plus de quantités de déchets. Selon la GAM, elle est susceptible d'accueillir neuf cellules en tout, soit une capacité de traitement des déchets de la ville jusqu'en 2027.
Pour Edward Oakden, ambassadeur britannique en Jordanie, "la communauté internationale doit soutenir la résilience et la stabilité de la Jordanie, qui accueille généreusement un grand nombre de réfugiés. Les améliorations des infrastructures critiques telles que celle-ci permettent de garantir que les communautés jordaniennes continuent à recevoir les services essentiels tels que la gestion des eaux usées et solides.”
En février 2016, la Berd avait déjà participé au financement de la mise à niveau de la décharge de Ghabawi. La banque avait accordé un prêt de 11,8 M€ couvrant notamment l'installation d'un dispositif de production d’énergie à base de déchets permettant également d’alimenter le réseau national d'électricité.