
La population algérienne manifeste depuis le début de l'année. (photo Twitter : Dj DBA)
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ALGERIE. En dépit d'un filtrage important gênant l'accès au centre-ville, les Algériens sont descendus en masse dans les rues d'Alger pour le 13e vendredi consécutif. Ils demandent le départ du président de transition et chef d'état-major, Ahmed Gaïd Salah, et surtout le report de l'élection présidentielle prévue le 4 juillet 2019.
L'opposition au pouvoir militaire en place depuis le départ du Président Bouteflika estime impossible le renouvellement de la classe politique dans des délais aussi courts. Les candidats n'ont que jusqu'au 23 mai pour déposer leurs candidatures. Si l'Algérie a jusqu'à présent évité de basculer dans la violence, les heurts semblent de plus en plus importants vendredi après vendredi. La manifestation d'aujourd'hui (vendredi 17 mai) aurait fait plusieurs blessés.
Jour après jour, Ahmed Gaïd Salah continue de déboulonner les caciques du clan Bouteflika. Jeudi 16 mai, le responsable de la lutte contre la corruption et deux procureurs sont venus s'ajouter à la longue liste des personnalités démises de leurs fonctions. Beaucoup d'entre-elles, dont deux anciens premiers ministres et plusieurs ministres, ont été convoquées devant la justice ou la gendarmerie, parfois même carrément arrêtées.
L'opposition au pouvoir militaire en place depuis le départ du Président Bouteflika estime impossible le renouvellement de la classe politique dans des délais aussi courts. Les candidats n'ont que jusqu'au 23 mai pour déposer leurs candidatures. Si l'Algérie a jusqu'à présent évité de basculer dans la violence, les heurts semblent de plus en plus importants vendredi après vendredi. La manifestation d'aujourd'hui (vendredi 17 mai) aurait fait plusieurs blessés.
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