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TUNISIE / ALGÉRIE. La taxe sur l'entrée des transporteurs sur le territoire tunisien est en vigueur depuis dimanche 3 juin 2018. D'un montant de 200 dinars tunisiens (66 €) ou 14 000 dinars algériens (101 €), elle est applicable aux camions, remorques, unités de charges et conteneurs qui passent les frontières maritimes ou terrestres.
Cette taxe ne touche pas les véhicules de tourisme. Après quelques protestations aux frontières, mercredi 6 juin 2018, le consul d'Algérie en Tunisie a réagi officiellement en demandant des explications au ministre tunisien des Affaires étrangères. Selon Abdelkader Hadjar interrogé par le journal algérien Observ'Algérie, "le parlement tunisien, dans un souci de protéger la production locale tunisienne, a décidé d'insérer la nouvelle taxe dans le nouvelle loi de Finances."
Pour Chokri Letaief, vice-ambassadeur de Tunisie à Alger, cité par le site en ligne Tout Sur l'Algérie (TSA), "il ne s'agit nullement d'une taxe. Ce sont des frais de service douanier qui ne concernent pas les voitures et les bus touristiques. C'est une somme à payer pour les camions de marchandises qui devront passer au scanner."
La taxe s'étendra à tous les véhicules commerciaux arrivant en Tunisie, quelque soit leur nationalité.
L'affaire entre les deux voisins rappelle celle d'une autre taxe : le timbre de solidarité instauré en octobre 2014 par la Tunisie dans le cadre du train de mesures d'urgences pour soutenir les professionnels du secteur touristique. Instauré en octobre 2014 par la Tunisie avec le train de mesures d'urgences prises pour soutenir les professionnels du secteur touristique, il avait été supprimé en août 2015. Le gouvernement tunisien l'avait ressuscité durant l'été 2016 sous la forme d'une taxe pour les véhicules étrangers (dont les Algériens) sortant du territoire tunisien. Avant, quelques mois plus tard, et face à la menace d'Alger de créer une taxe identique pour les Tunisiens venant en Algérie, d'en exonérer les Algériens, le plus gros contingent de touristes en Tunisie avec 1,5 million de visiteurs annuels.
Cette taxe ne touche pas les véhicules de tourisme. Après quelques protestations aux frontières, mercredi 6 juin 2018, le consul d'Algérie en Tunisie a réagi officiellement en demandant des explications au ministre tunisien des Affaires étrangères. Selon Abdelkader Hadjar interrogé par le journal algérien Observ'Algérie, "le parlement tunisien, dans un souci de protéger la production locale tunisienne, a décidé d'insérer la nouvelle taxe dans le nouvelle loi de Finances."
Pour Chokri Letaief, vice-ambassadeur de Tunisie à Alger, cité par le site en ligne Tout Sur l'Algérie (TSA), "il ne s'agit nullement d'une taxe. Ce sont des frais de service douanier qui ne concernent pas les voitures et les bus touristiques. C'est une somme à payer pour les camions de marchandises qui devront passer au scanner."
La taxe s'étendra à tous les véhicules commerciaux arrivant en Tunisie, quelque soit leur nationalité.
L'affaire entre les deux voisins rappelle celle d'une autre taxe : le timbre de solidarité instauré en octobre 2014 par la Tunisie dans le cadre du train de mesures d'urgences pour soutenir les professionnels du secteur touristique. Instauré en octobre 2014 par la Tunisie avec le train de mesures d'urgences prises pour soutenir les professionnels du secteur touristique, il avait été supprimé en août 2015. Le gouvernement tunisien l'avait ressuscité durant l'été 2016 sous la forme d'une taxe pour les véhicules étrangers (dont les Algériens) sortant du territoire tunisien. Avant, quelques mois plus tard, et face à la menace d'Alger de créer une taxe identique pour les Tunisiens venant en Algérie, d'en exonérer les Algériens, le plus gros contingent de touristes en Tunisie avec 1,5 million de visiteurs annuels.