
(photo Union européenne)
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GRÈCE. "Nous ne nous sommes pas engagés à trouver l'argent exclusivement à partir de coupes dans les retraites. Au contraire, l'accord (avec les créditeurs) prévoit la possibilité de mesures équivalentes, que nous avons déjà mises en route." En pleine négociation sur le système de retraites avec ses créanciers, Alexis Tsipras n'entend pas céder à "des exigences déraisonnables et injustes" indiquait-il, dimanche 3 janvier 2016, dans une interview accordée au journal grec Real News.
La pression est mise sur le gouvernement grec depuis juillet 2015 et la signature de l'accord avec ses créanciers prévoyant une aide de 86 mrds€ sur trois ans en échanges de réformes. Les mesures impopulaires se succèdent.
Le premier ministre grec se bat pour ne pas trouver "des coupes exclusivement dans les retraites", même s'il reste conscient que le système a besoin d'une réforme en profondeur. "Si nous ne nous occupons pas du problème du système de sécurité sociale aujourd'hui, dans un an nous ne pourrons plus payer les retraites " affirme-t-il.
Pour assainir les finances grecques, les créanciers réclament une diminution de moitié (à 384 € par mois) de la retraite minimale garantie par l'Etat.
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