
Alexis Tsipras juge non nécessaire la participation du FMI dans le plan de sauvetage financier de la Grèce. (ph Union européenne).
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GRECE. « J'ai l'impression que le financement du FMI n'est pas nécessaire » déclare le premier ministre grec lors d’une interview à Et1 lundi 7 décembre 2015. Alexis Tsipras juge que la participation du Fonds Monétaire International (FMI) au plan de sauvetage financier de la Grèce n’est plus obligatoire.
Il justifie sa déclaration en affirmant que les besoins en financement de la Grèce représentent une somme moins importante que celle prévue le 13 juillet 2015, soit 86 mrds€. Alexis Tsipras explique que l’enveloppe prévue (25 mrds€) pour la recapitalisation des banques grecques sera moins lourde.
Ces dernières ont dorénavant besoin d’un financement de 5,7 mrds€. Une baisse qui s’illustre notamment par la levée de plus de 5 mrds€ sur les marchés.
Le premier ministre grec juge aussi que « la position du FMI n'est pas constructive, que les réformes demandées, envers les citoyens grecs sont les plus dures ». Il reproche « la demande inacceptable des garanties de viabilité de la dette grecque » faite à l’UE.
Une déclaration faite alors que le « quartet » des créanciers arrive à Athènes mardi 8 décembre 2015. Declan Costello, de la Commission européenne, Rasmis Rüffer de la BCE, Delia Velculescu du FMI et Nicola Giammarioli du MES vont surveiller la mise en place de nouvelles mesures.
En jeu, un nouveau prêt de 1 mrd€. Le gouvernement doit pour cela, voter mi-décembre en faveur de mesures comme le règlement des dettes des entreprises ou encore l’accélération des privatisations.
Il justifie sa déclaration en affirmant que les besoins en financement de la Grèce représentent une somme moins importante que celle prévue le 13 juillet 2015, soit 86 mrds€. Alexis Tsipras explique que l’enveloppe prévue (25 mrds€) pour la recapitalisation des banques grecques sera moins lourde.
Ces dernières ont dorénavant besoin d’un financement de 5,7 mrds€. Une baisse qui s’illustre notamment par la levée de plus de 5 mrds€ sur les marchés.
Le premier ministre grec juge aussi que « la position du FMI n'est pas constructive, que les réformes demandées, envers les citoyens grecs sont les plus dures ». Il reproche « la demande inacceptable des garanties de viabilité de la dette grecque » faite à l’UE.
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En jeu, un nouveau prêt de 1 mrd€. Le gouvernement doit pour cela, voter mi-décembre en faveur de mesures comme le règlement des dettes des entreprises ou encore l’accélération des privatisations.