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UE. L'avionneur européen Airbus confirme, dans un communiqué publié mardi 28 janvier 2019, "être parvenu à un accord de principe avec le Parquet national financier français, le Serious Fraud Office du Royaume-Uni, et les autorités américaines".
L'entreprise se trouve sous le coup d'enquêtes concernant des allégations de pots-de-vin et de corruption, ainsi que sur la conformité avec la réglementation américaine sur la commercialisation internationales d'armes (ITAR). C'est elle-même qui avait dénoncé ces faits en 2016, après les avoir découverts en 2013, auprès des juridictions française et britannique pour éviter les poursuites. Fin 2018, le Department of Justice (Etats-Unis) débutait aussi des investigations.
Ces accords restent cependant soumis à l'approbation des tribunaux et des régulateurs français, britanniques et américains.
Airbus indique que, "pour des raisons juridiques", il ne fera "aucun commentaire sur les détails des ses discussions avec les autorités chargées de l'enquête".
Le Financial Times évoque une somme de 3 mrds€ accompagnant ces transactions.
L'entreprise se trouve sous le coup d'enquêtes concernant des allégations de pots-de-vin et de corruption, ainsi que sur la conformité avec la réglementation américaine sur la commercialisation internationales d'armes (ITAR). C'est elle-même qui avait dénoncé ces faits en 2016, après les avoir découverts en 2013, auprès des juridictions française et britannique pour éviter les poursuites. Fin 2018, le Department of Justice (Etats-Unis) débutait aussi des investigations.
Ces accords restent cependant soumis à l'approbation des tribunaux et des régulateurs français, britanniques et américains.
Airbus indique que, "pour des raisons juridiques", il ne fera "aucun commentaire sur les détails des ses discussions avec les autorités chargées de l'enquête".
Le Financial Times évoque une somme de 3 mrds€ accompagnant ces transactions.