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FRANCE. Face à l'interminable mouvement social opéré chez Air France (onzième jour de grève), la direction met officiellement fin définitivement au projet Transavia Europe.
Dans un communiqué, la teneur des propos est cristalline : "pour une résolution rapide du conflit, la direction propose le retrait immédiat du projet Transavia Europe".
En contrepartie, le groupe devrait poursuivre le développement de Transavia France "dans des conditions économiques compétitives et assorties des garanties discutées dans les négociations jusqu’à présent". Projet qui devrait "créer rapidement plus de 1 000 emplois en France, dont 250 emplois de pilotes" rappellent Alexandre de Juniac, président-directeur général d’Air France-KLM, et Frédéric Gagey, président-directeur général d’Air France.
"Cette proposition équilibrée répond aux inquiétudes des partenaires sociaux en apportant une garantie renouvelée qu’il n’y aura aucune délocalisation", note enfin le communiqué.
En contrepartie, la direction appelle à "une reprise immédiate du travail par les pilotes". Le gouvernement français approuve le "geste" et appelle lui aussi à la reprise du travail.
Le Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL) et le Syndicat des Pilotes d'Air France (SPAF) prennent, quant à eux, note de la décision mais entendent obtenir des précisions sur le développement de Transavia France avant de stopper leur mouvement de grève.
Dans un communiqué, la teneur des propos est cristalline : "pour une résolution rapide du conflit, la direction propose le retrait immédiat du projet Transavia Europe".
En contrepartie, le groupe devrait poursuivre le développement de Transavia France "dans des conditions économiques compétitives et assorties des garanties discutées dans les négociations jusqu’à présent". Projet qui devrait "créer rapidement plus de 1 000 emplois en France, dont 250 emplois de pilotes" rappellent Alexandre de Juniac, président-directeur général d’Air France-KLM, et Frédéric Gagey, président-directeur général d’Air France.
"Cette proposition équilibrée répond aux inquiétudes des partenaires sociaux en apportant une garantie renouvelée qu’il n’y aura aucune délocalisation", note enfin le communiqué.
En contrepartie, la direction appelle à "une reprise immédiate du travail par les pilotes". Le gouvernement français approuve le "geste" et appelle lui aussi à la reprise du travail.
Le Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL) et le Syndicat des Pilotes d'Air France (SPAF) prennent, quant à eux, note de la décision mais entendent obtenir des précisions sur le développement de Transavia France avant de stopper leur mouvement de grève.