
Air France sous la menace d'une nouvelle grève (photo : F.Dubessy)
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FRANCE. Alors que la CGT laissait entendre, au matin du lundi 27 août 2018, "de fortes probabilités de relance de la grève", aucun mouvement social ne se déroulera dans les prochains jours.
L'intersyndicale de la compagnie aérienne a fait savoir en fin de journée que les neuf syndicats (qui la composent) restent "mobilisés" mais n'annoncent pas de nouveaux mouvements.
Les représentants des salariés réclament un "rattrapage de 5,1% (des) salaires, dans les brefs délais, correspondant à l'inflation 2012-2017." Jeudi 30 août 2018, l'intersyndicale publiera une "déclaration unitaire". Elle devrait comprendre "une date d'ultimatum. Soit la direction lance des signaux forts, soit on repart dans le conflictuel", prévient le court texte diffusé à l'issue de la réunion de lundi 27 août 2018.
Les neuf syndicats (SNPL, Alter, SNPNC, Unsa-PNC, CFTC, SNGAF) ont mené des grèves perlées entre le 22 février et le 8 mai 2018. La démission du Pdg Jean-Marc Janaillac avait marqué une trêve, le temps de la nomination du nouveau patron. Mais l'arrivée d'un Canadien, Benjamin Smith, à ce poste - qui plus est avec une rémunération pouvant atteindre 4,25 M€ annuels soit le triple de son prédécesseur - a relancé, sinon amplifié, les tensions.
L'intersyndicale de la compagnie aérienne a fait savoir en fin de journée que les neuf syndicats (qui la composent) restent "mobilisés" mais n'annoncent pas de nouveaux mouvements.
Les représentants des salariés réclament un "rattrapage de 5,1% (des) salaires, dans les brefs délais, correspondant à l'inflation 2012-2017." Jeudi 30 août 2018, l'intersyndicale publiera une "déclaration unitaire". Elle devrait comprendre "une date d'ultimatum. Soit la direction lance des signaux forts, soit on repart dans le conflictuel", prévient le court texte diffusé à l'issue de la réunion de lundi 27 août 2018.
Les neuf syndicats (SNPL, Alter, SNPNC, Unsa-PNC, CFTC, SNGAF) ont mené des grèves perlées entre le 22 février et le 8 mai 2018. La démission du Pdg Jean-Marc Janaillac avait marqué une trêve, le temps de la nomination du nouveau patron. Mais l'arrivée d'un Canadien, Benjamin Smith, à ce poste - qui plus est avec une rémunération pouvant atteindre 4,25 M€ annuels soit le triple de son prédécesseur - a relancé, sinon amplifié, les tensions.