
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
FRANCE. Le chaos qui règne dans certains aéroports depuis la faillite d'Aigle Azur met en lumière une faille de taille dans la réglementation aérienne française. Les billets vendus n'intègrent pas une assurance en cas de disparition de la compagnie. Aigle Azur a brutalement fermé ses bureaux le sept septembre, sans se préoccuper des conséquences pour les clients qui se sont retrouvés livrés à eux-mêmes à l'étranger, avec leurs bagages et sans information.
Les agents de voyages qui ont vendu des packages à leurs clients doivent leur rembourser les billets ou trouver une compagnie de substitution. Mais les touristes ayant acheté un vol sec (sur le net comme dans une agence) perdent purement et simplement la somme dépensée, à laquelle s'ajoute les frais d'hébergement s'ils sont coincés à l'étranger, le surcoût du billet pris chez une autre compagnie dans l'urgence...et donc plus cher, et le stress de se retrouver planté dans un aéroport sans savoir si l'attente durera une journée, une semaine...ou plus.
Le média TourMaG.com, 1er support francophone de la presse tourisme, a mis en ligne une pétition demandant « aux Pouvoirs publics, au nom de tous les professionnels du voyage et de tous les Français et particulièrement à Jean-Baptiste Djebbari, secrétaire d'Etat aux transports et Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'Etat au tourisme, de bien vouloir mettre un terme à cette situation scandaleuse. Il faut protéger le consommateur en mettant en place une garantie et une assurance dignes de ce nom ». La pétition a déjà recueilli en quelques jours près de 10 000 signatures.
Selon 60 millions de consommateurs, la Fédération nationale des associations d’usagers des transports et le Centre européen des consommateurs France vont se mobiliser pour convaincre les députés européens « de créer un fonds de garantie sur le modèle de celui qui existe déjà au Danemark ».
Les agents de voyages qui ont vendu des packages à leurs clients doivent leur rembourser les billets ou trouver une compagnie de substitution. Mais les touristes ayant acheté un vol sec (sur le net comme dans une agence) perdent purement et simplement la somme dépensée, à laquelle s'ajoute les frais d'hébergement s'ils sont coincés à l'étranger, le surcoût du billet pris chez une autre compagnie dans l'urgence...et donc plus cher, et le stress de se retrouver planté dans un aéroport sans savoir si l'attente durera une journée, une semaine...ou plus.
Le média TourMaG.com, 1er support francophone de la presse tourisme, a mis en ligne une pétition demandant « aux Pouvoirs publics, au nom de tous les professionnels du voyage et de tous les Français et particulièrement à Jean-Baptiste Djebbari, secrétaire d'Etat aux transports et Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'Etat au tourisme, de bien vouloir mettre un terme à cette situation scandaleuse. Il faut protéger le consommateur en mettant en place une garantie et une assurance dignes de ce nom ». La pétition a déjà recueilli en quelques jours près de 10 000 signatures.
Selon 60 millions de consommateurs, la Fédération nationale des associations d’usagers des transports et le Centre européen des consommateurs France vont se mobiliser pour convaincre les députés européens « de créer un fonds de garantie sur le modèle de celui qui existe déjà au Danemark ».